Viols collectifs au Royaume-Uni : un scandale qui ne faiblit pas
Le Royaume-Uni est une nouvelle fois secoué par l’affaire des viols collectifs, un sujet brûlant qui refait surface grâce à l’intervention de figures influentes. Le jeudi 2 janvier, dans l’enceinte solennelle de la Chambre des Lords à Westminster, Lord Malcolm Pearson a réactivé ce débat houleux en évoquant des chiffres glaçants. Selon le parlementaire, si l’on généralise les données des enquêtes sur des villes comme Rotherham, Telford et Oxford, plus de 250 000 jeunes filles anglaises auraient été victimes de viols depuis le début du XXIe siècle, des abus majoritairement perpétrés par des hommes musulmans. Ces affirmations, bien qu’électrisantes, ne sont pas nouvelles mais révèlent une réalité qui continue de diviser l’opinion publique.
Une vérité partiellement mise à jour
Les condamnations liées à ces affaires ne manquent pas. Dans le Yorkshire, à Bradford, un tribunal a infligé un total de 219 années de prison à vingt hommes reconnus coupables d’avoir violé quatre jeunes filles entre 2001 et 2010. Dix-neuf des accusés portaient des noms à consonance indo-pakistanaise, un fait qui alimente les débats sur les dynamiques ethniques et culturelles de ces crimes. Cependant, la divulgation de ces condamnations par les autorités britanniques n’a eu lieu qu’en novembre 2024, après plusieurs années de silence imposé par une législation autorisant les juges à restreindre la publication d’informations pour éviter de compromettre l’administration de la justice.
Elon Musk et la controverse politique
Elon Musk, entrepreneur américain et figure emblématique des réseaux sociaux, s’est immiscé dans le débat par une publication sur X (anciennement Twitter). Dans son message, il accuse Keir Starmer, actuel chef de l’opposition travailliste et ancien directeur du service des poursuites judiciaires (CPS), d’avoir été en poste lorsque ces crimes étaient régulièrement ignorés par le système judiciaire. Musk va plus loin en réclamant des élections anticipées au Royaume-Uni, mettant ainsi une pression supplémentaire sur le gouvernement britannique.
Silence médiatique et immobilisme institutionnel
L’affaire soulève de nombreuses questions sur les défaillances des institutions britanniques. Pourquoi des viols systématiques ont-ils pu se poursuivre pendant plusieurs décennies sans intervention adéquate ? D’anciens officiers de police, comme Maggie Oliver, affirment que la peur d’être accusé de racisme a freéné les enquêtes. De même, des médias ont souvent évité de traiter ces affaires, craignant de donner des arguments à l’extrême droite. Par ailleurs, la législation britannique de 1981, qui permet de restreindre la couverture médiatique d’affaires judiciaires, a été utilisée pour maintenir le secret autour de nombreux cas.
Une société face à ses contradictions
Ces événements mettent en évidence les tensions profondes liées à l’immigration et à l’intégration culturelle au Royaume-Uni. Si certains dénoncent un manque de volonté politique pour résoudre ces problèmes, d’autres pointent la nécessité d’éviter les amalgames et les discours haineux. L’équilibre entre la recherche de justice pour les victimes et le respect des principes d’égalité et de non-discrimination reste une épreuve complexe.
Des réponses encore attendues
Alors que cette affaire rebondit une énième fois, les citoyens britanniques attendent des réponses claires et des actions concrètes. Une chose est sûre : le débat sur ces crimes abominables, et sur la gestion des communautés immigrées au Royaume-Uni, continuera de diviser l’opinion et de tester les fondements du système judiciaire et politique britannique.
Jforum.fr
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A poster à l’adresse de l’ambassade d’UK et à diffuser largement
Les véritables criminels dans l´histoire sont les gouvernements des décennies passées qui ont été clairement complices de ces crimes de masse…Si j´étais citoyen britannique, je formerais un groupe des familles dont les filles ont été touchées, et soit la justice s´occuperait de la requête déposée dans un délais d´un mois pour mettre au trou tous les ministres de la justice ayant étouffé l´affaire depuis 30 ans, soit on formerait une milice qui irait pourchasser les membres de ces gangs pakistanais pour leur découper et griller leurs merguez à vif au barbecue, leur toaster leurs burnes toujours à vif et leur arracher sans anesthésie, et en faire un plat de saucisses-boulettes qu´ils avaleront de grès ou de force par gavage…Et on ferait un rodéo publique en les traînant derrière nos bagnoles lancées à 120 km/h jusqu’à ce qu´ils se démontent en pièces sur le macadam…Et malheur aux juges qui oseraient s´interposer et nous menacer de procès et qui verraient directement leur personne et leurs proches visés par de potentiels représailles…
AU ROYAUME UNI IL EST PLUS FACILE DE METTRE EN CAUSE LES JUIFS INNOCENTS QUE DES MUSULMANS MULTI VIOLEURS.
LE PASDEVAGUE EST FORTEMENT CONSEILLÉ.