Qu’adviendra-t-il de l’énorme accord avec les Émirats à l’ombre de la campagne à Gaza?
Dans la rue arabe, les images de graves destructions de la bande de Gaza n’ont pas été bonnes pour les pays qui ont signé des accords de normalisation avec Israël au cours de l’année écoulée. Cela est particulièrement vrai des Émirats arabes unis, qui sont considérés comme le moteur principal et le plus enthousiaste du rapprochement avec Israël.
L’opération à Gaza a été le premier véritable test des relations entre Abu Dhabi et Jérusalem, principalement dans le contexte du fait que d’ici la fin de ce mois (la semaine prochaine), Delek Drilling et Mubadala Petroleum doivent annoncer un accord final pour vendre 22% du champ gazier de Tamar pour 1,1 milliard de dollars. Pendant les combats, des estimations ont été faites dans la presse arabe, sans parler des souhaits sincères, que Mubadella serait forcé d’abandonner l’accord.
Cependant, avec la réalisation du cessez-le-feu, le ton semble avoir changé. Selon les responsables du Golfe, Mubadala, la branche d’investissement du gouvernement d’Abou Dhabi, sera intéressée par la conclusion de l’accord. Si cela se produit, ce sera le premier accord majeur entre les pays depuis la signature de l’accord Abraham en août 2020.
Au cours du cycle, le ministère de l’Énergie a ordonné la fermeture des opérations de Tamar, ce qui a été interprété comme un risque supplémentaire pour l’investissement mais selon aux sources, cela ne dissuade pas les déclarations.
Crédit: site Telegram Doron Peskin Crédit photo: Drilling fuel
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