En Turquie, les missiles S-400 sont déclarés opérationnels.
Le président turc des industries de défense Ismail Demir a déclaré le 11 janvier que les systèmes russes de défense antimissile S-400 sont prêts à être mis en service en Turquie.
En Turquie, le S-400 est opérationnel
Le président turc des industries de défense Ismail Demir a déclaré le 11 janvier que les systèmes russes de défense antimissile S-400 sont prêts à être mis en service en Turquie. « Le S-400 est prêt à l’emploi, les forces armées décideront quand un tel besoin se fait sentir », a t-il ajouté. Le S-400 a été développé par la société Almaz-Antei et la Turquie n’est pas le premier pays client de ce système de défense, puisqu’en dehors de la Russie qui compte au moins 8 régiments armés du S-400 (il avait été prévu d’en équiper 12 en 2020), la Chine mais aussi l’Algérie disposent de batteries S-400.
Un système de défense anti-aérienne polyvalent
Le S-400 comprend plusieurs équipements dont un poste de commandement mais également trois radars œuvrant en basse, haute altitude et de type multifonction, jusqu’à douze véhicules de lancement comportant quatre missiles chacun, lesquels peuvent être de cinq types différents. Ce ne sont pas moins de 48 missiles qui peuvent être mis en œuvre et offrir une vaste couverture aérienne. Le S-400 peut être aussi bien déployé contre un missile de croisière de type Tomahawk qu’un avion de reconnaissance tel que le Lockheed Martin TR-1 ou encore des bombardiers furtifs B-2 voire des appareils de guerre électronique ou de manière nettement plus classique, des bombardiers lourds comme le Boeing B-52 ou le Boeing (Rockwell) B-1. Par ailleurs, Ismail Demir a informé que les entreprises turques continuent de travailler sur le projet de développement de chasseurs F-35 américains, malgré la décision de Washington d’exclure la Turquie de ce programme.
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l’Europe et particulièrement l’Allemagne et la France d sont tétanisés face à la Turquie qui étudie, insulte et fait chanter titre l’Europe avec son « stock » d’immigrés parqués aux frontières.
Voir l’attitude de l’Europe et l’OTAN dans l’affaire de la Grèce.
triste monde ! quand les occidentaux vont se comporter raisonnablement. On fait rentrer un cheval de Troie et on ne fait rien pour le faire sortir