Tsahal mène une vaste opération antiterroriste en Cisjordanie
L’armée israélienne, en collaboration avec l’armée de l’air et le Shin Bet, a récemment conduit l’une de ses opérations antiterroristes les plus ambitieuses en Cisjordanie depuis plusieurs mois. Cette opération, qui a mobilisé des centaines de soldats et bénéficié d’un appui aérien important, s’est concentrée sur les régions de Tulkarem, Jénine et d’autres zones sensibles, en réponse à une tentative d’attentat-suicide à Tel-Aviv le 18 août, ainsi qu’à une recrudescence des activités terroristes palestiniennes.
La tentative d’attentat-suicide est soupçonnée d’avoir été planifiée à Tulkarem, ce qui a incité Tsahal à renforcer sa présence et ses actions dans cette région. Contrairement aux raids habituels en Cisjordanie, qui impliquent généralement un nombre restreint de soldats opérant dans un seul village, cette opération a marqué un retour à des actions à grande échelle, comparables à l’intervention massive de juillet 2023 à Jénine.
Lors de cette opération, l’armée israélienne a éliminé plusieurs terroristes armés, saisi des armes et du matériel militaire, et démantelé des explosifs placés sous les routes pour cibler les forces de sécurité. Bien que cette opération ait entraîné la mort de plusieurs suspects, aucun soldat israélien n’a été blessé. Des corridors humanitaires ont été ouverts pour permettre aux civils de se mettre en sécurité, et l’armée a pris des mesures pour limiter les dommages collatéraux, bien que des incidents, comme l’endommagement accidentel d’une conduite d’eau à Nur al-Shams, aient été rapportés.
La coordination de cette opération avec les forces spéciales Duvdevan et la brigade Kfir a permis de cibler efficacement les infrastructures terroristes. À Tulkarem, par exemple, une frappe de drone a détruit une salle d’opérations terroristes, tuant cinq suspects, dont un ancien prisonnier libéré lors d’un échange avec le Hamas en novembre 2023.
Malgré la gravité de la situation, Tsahal n’a pas suivi les recommandations du ministre des Affaires étrangères, Yisrael Katz, d’évacuer de force les villes de Cisjordanie, préférant une approche plus ciblée. Cette décision reflète la complexité et la sensibilité des opérations menées dans ces régions, où l’équilibre entre la lutte contre le terrorisme et la protection des civils reste un défi constant.
Il est notable que, bien que l’armée israélienne s’engage activement dans des opérations antiterroristes en Cisjordanie, elle prend soin de limiter les dégâts collatéraux et d’ouvrir des corridors humanitaires.
Jforum.fr
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Comme d’habitude, Gutteres/ONU a balancé sa vive condamnation d’Israël et en concluant que seule la solution à deux Etats et tout le tralala, ramènerait la paix.
Ce vieux con qui sent la sardine pas fraîche la ramène encore avec ses remontrances récurrentes à chaque fois que Tsahal mène une attaque contre les monstres de Judée Samarie qui veulent provoquer une intifida, tandis que le sénile de Ramallah ferme les yeux et parfois, participe à ces agressions barbares.
Israël n’a de comptes à rendre à personne, pas même à Biden le sénile et sa clique qui sont prêts à le « jeter sous l’autobus » selon la fameuse formule entendue fréquemment durant les mandats du calamiteux Obama.
Plus que ras le bol de Gutteres/ONU qui balance ses condamnations d’Israël, à chaque que ses hémorroïdes le démangent….
Est-ce qu’en juin 1967, De Gaulle appliquant l’embargo sur les armes à destination d’Israël attaqué par plusieurs pays arabes, ne voulait-il pas sacrifier l’État Juif aux intérêts de la France et sa politique pro-arabe ? Peut-on comprendre qu’à la suite de cela Israël se soit tourné vers l’Amérique pour ses approvisionnements en armement ? Est-ce qu’en octobre 1973, l’Europe interdisant le passage dans son espace aérien, du pont aérien américain livrant l’armement à Israël, attaqué par surprise un jour de kippour, ne cherchait-il pas à jeter l’État Juif sous l’autobus, pour servir les intérêts de sa politique pro-arabe et antijuive? Les Juifs doivent ne compter que sur eux-mêmes, et n’ont de comptes à rendre à personne d’autre que Dieu.
C’est curieux, n’est-ce pas? Le 13 septembre 1993, à Washington, Rabin, cet expert en nature humaine notamment arabe, déclarait devant Clinton, Carter, Bush, Kissinger, Vance et Baker, que » les Juifs et les squatters arabes étaient destinés à vivre ensemble, sur le même sol, dans la même terre, et qu’il y en avait assez du sang et des larmes. » approuvé bien-sûr par Pères, le champion des congrès socialiste internationaux, comme yossi Beilin, etc..Certes, les députés Likud et les autres partis de droite n’ont pas voté à la Knesset la Déclaration de Principes des Accords d’Oslo, mais elle est passée puisque c’était la gauche qui gouvernait alors. Je ne vois pas comment Netanyahou pourrait être tenu par des accords d’Oslo qu’il n’a pas votés?
On se demande donc si, devant la situation actuelle de Gaza et de la Judée-Samarie, nous devons rire ou pleurer le sang de nos morts? La gauche qui a voté les accords d’Oslo en 1993, ne veut pas assumer la responsabilité de ses choix et actions. Ainsi, celui qui en 1995 a descendu Rabin, aurait donc abattu un irresponsable ?
Aujourd’hui encore, Tsahal refuse la demande de Katz d’évacuer les villes de Jénine et Tulkarem, repaires de tueurs de Juifs. L’armée israélienne est irresponsable ? Ses résultats permettent de le penser?