Tsahal : la présence de femmes dans les tanks fait des dégâts

Tsahal a décidé qu’il n’y aura pas de femmes dans les tanks…

L’armée israélienne est confrontée à un problème de main-d’œuvre dans ses unités combattantes, notamment après l’adoption partielle de nouvelles normes d’égalité entre les sexes, normes visant à intégrer des femmes dans les unités de combats. Cependant, une chose est sure, c’est que cela ne s’appliquera pas aux tanks, en effet, après une période d’expérimentation dans laquelle des femmes ont été placés dans des tanks sous la supervision du Corps médical de Tsahal, l’armée israélienne a conclu que la présence de femmes dans les tanks provoque des dégâts « …

Le problème de pénurie est le résultat des travaux de la commission Shaked, qui a été créée après les élections de 2013, pour ramener une certaine égalité dans le partage du fardeau militaire entre les  orthodoxes et les laïques et entre les hommes et les femmes.
Le comité, qui était dirigé par la ministre de la Justice actuel, Ayelet Shaked, a décidé de raccourcir le service des hommes de quatre mois ( de 36 à 32 mois ) et d’allonger celui des femmes de quatre mois, ( de 24 à 28 mois ). Cependant, au final, seul le service des hommes a été raccourci, celui des femmes n’a pas été rallongé pour des raisons obscures…

L’armée israélienne a rapidement découvert qu’elle serait confronté à une pénurie d’environ 10.000 soldats et a commencé à chercher des façons de combler cet écart avec les femmes soldates.

Les expériences physiologiques menées par les services de santé de Tsahal comprenaient la surveillance d’une femme dans un tank Merkava, principalement dans les deux rôles qui nécessitent un grand  effort physique, le chargeur ( qui charge des obus dans le canon ) et le pilote ( qui utilise beaucoup de force pour appuyer sur les pédales du tank ).

Un autre élément qui a été examiné était le fait que servir l’intérieur d’un tank implique une grande intimité entre les membres de l’équipage, l’équipage peut passer 24 heures ou plus à l’intérieur d’un tank sans être en mesure d’en sortir.
Comme alternative, l’armée israélienne est à la recherche de femmes opératrices d’équipement lourds, comme les bulldozers D9, qui ouvrent souvent le chemin aux convois militaires pour dégager la route des mines et des obstacles éventuels.
Là aussi, cependant, un conducteur passe souvent beaucoup de temps à l’intérieur de la cabine sans être en mesure d’en sortir.

L’officier supérieur a noté que le câble utilisé pour remorquer les véhicules ingénierie pèse plus de 60 kilos.
Il a cependant ajouté qu’il y a un problème similaire dans les unités de renseignement pour ériger des mâts d’observation mais l’armée a commencé à utiliser un dispositif électrique pour ériger ces mâts sans efforts afin que les femmes puissent faire face à leur mission.

L’intégration des femmes dans des unités de combats a été menée sous la pression intense des associations féministes israéliennes, qui ont beaucoup de poids à la Knesset et dans les médias.

Source Koide9enisrael