Trump doit reconnaître la souveraineté d’Israël sur le Golan
La nouvelle la plus importante, liée à la visite du Premier Ministre Binyamin Netanyahu à Washnigton n’est pas forcément dans ce qu’ont retenu les grands titres de Une. C’est plutôt la décision de demander aux Etats-Unis de reconnaître la souveraineté d’Israël sur les Hauteurs du Golan. Cela se produit à un moment où le Président des Etats-Unis Donald Trump cherche à revigorer les relations des Etats-Unis avec ses alliés au Moyen-Orient et à introduire de nouvelles stratégies en vue de résoudre une myriade de défis auxquels les Etats-Unis sont confrontés. Dans ce contexte, l’idée présentée par Netanyahu devrait inciter à plus qu’un examen occasionnel, de la part de Washington.
Israël a conquis deux-tiers du territoire du Golan à la Syrie en 1967 et les a annexés en 1981, à la consternation de la communauté internationale. Ces hauteurs stratégiques représentent moins d’un pour cent du territoire syrien, pour tant sous son contrôle, elles servent en tant que position avancée, depuis où l’artillerie syrienne pouvait régulièrement bombarder le Nord d’Israël et d’où l’Organisation du Fatah palestinien lançait autrefois des raids transfrontaliers réguliers.
Ce que l’Administration Trump va décider de faire en ce qui concerne la Syrie nécessite une décision encore plus importante, à propos de la Russie. Constater en quoi les intérêts du Président russe Vladimir Poutine recoupent ou divergent de ceux de l’Amérique va servir de pierre angulaire dans l’élaboration d’une stratégie plus vaste et cohérente au Moyen-orient, qui remplira les objectifs gémellaires de Trump, de détruire l’Etat Islamique (Daesh) et de repousser l’hégémonie iranienne. En même temps, la définition de Washington du rôle régional de Moscou aura des conséquences directes sur la position et le partage des renseignements dans le cadre de la sécurité d’Israël.
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles reconnaître l’annexion des Hauteurs du Golan serait bénéfique à la fois aux Etats-Unis et à Israël. Que les précédentes tentatives de paix israélo-syriennes aient eu lieu du temps d’Hafez el Assad, dans les années 1990 à 2000 ou supervisées par son fils Bachar en 2008 et 2010, les résultats ont été les mêmes : les dirigeants syriens exigent plus que soit l’Egypte soit la Jordanie n’ont reçu, dans le cadre des accords avec ces pays, tout en offrant significativement moins en retour. Essentiellement, ils demandent qu’Israël leur verse une prime pour les décennies supplémentaires d’hostilité syrienne.
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L orient n est pas complique ! Il y a d un cote les arabes auquels il ne faut pas faire confiance , mais qui ont le petrole et avec lesquels tous les antiJuixs de la planete couchent avec .De l autre cote , Il y a l etat Juif que l on veut etrangler pacequ il es Juif .Le monde prefere les muzzs et lui vend tout l armement pour tuer du Juif .