Netanyahu reste inflexible, malgré les pressions
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a récemment réaffirmé sa position ferme face aux négociations sur la libération des otages détenus par le Hamas, mettant en avant la priorité des intérêts stratégiques d’Israël plutôt que la restitution immédiate des captifs. Lors d’une réunion avec les représentants des familles des victimes et des otages, Netanyahu a clairement exprimé qu’il n’était pas disposé à céder sur des points essentiels, même si cela signifiait un retard ou l’échec des négociations.
Il a précisé que tout accord potentiel devrait impérativement préserver les atouts stratégiques du pays, soulignant notamment l’importance de maintenir une présence militaire israélienne dans des zones clés comme le corridor de Philadelphie, un passage crucial pour la sécurité d’Israël en raison de son rôle dans la prévention du trafic d’armes vers Gaza. Netanyahu a également insisté sur le fait qu’Israël ne pouvait pas accepter un cessez-le-feu permanent tant que le Hamas n’était pas totalement vaincu, un point de friction majeur dans les discussions en cours.
Ces déclarations interviennent dans un contexte de négociations complexes, où les États-Unis, représentés par le secrétaire d’État Antony Blinken, tentent de faciliter un accord entre les deux parties. La proposition américaine vise à avancer par étapes, avec une première phase qui inclurait la libération d’un nombre limité d’otages sans résolution immédiate de la question du cessez-le-feu. Toutefois, Netanyahu reste inflexible, refusant de céder aux demandes du Hamas, même sous la pression internationale croissante.
Les accusations selon lesquelles Netanyahu ajouterait des conditions supplémentaires pour faire échouer un éventuel accord ont été réfutées par son gouvernement, qui blâme le Hamas pour l’absence de progrès significatifs. Dans ce climat tendu, la question de la sécurité nationale d’Israël demeure au cœur des préoccupations du Premier ministre, qui privilégie une approche prudente et stratégique, malgré la douleur des familles des otages en attente d’une résolution.
Jforum.fr
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Être citoyen israélien implique des devoirs envers sa nation, et les familles d’otages révèlent ici un patriotisme curieux. En 1962, les Askénazim travaillistes ont bien donné 120.000 Juifs d’Algérie, Séfardim, à De Gaulle, au nom des intérêts stratégiques d’Israël.
Le hamas ne sera jamais vaincu tant qu’il reposera sur un socle de 2 millions de gazaouis. Bennett a souligné que si actuellement Israël a éliminé 17.000 terroristes, le hamas en a déjà recruté 10.000 sur un million de gazaouis. L’expulsion des 2 millions de gazaouis est donc la condition nécessaire pour vaincre le hamas. Les américains devraient donc insister sur le projet de déplacer 500.000 gazaouis en Égypte, 500.000 en Arabie Saoudite, 250.000 au Yémen, 500.000 en Transjordanie et en Irak voire en Europe et notamment la France de RIMa hassan qui les aime tant, etc..
En attaquant gaza au nord en octobre dernier, Netanyahou a pendant des mois suivants, méprisé l’importance capitale du couloir de Philadelphie. Il y insiste actuellement. Il a donc l’esprit un peu lent. A-t-il enfin compris que son armée de terre est plus nulle que nulle, et que les égyptiens l’ont joué pendant 15 ans?