L’exposition intitulée « Opération Vengeance » présentait des personnages de Lego représentant des soldats portant le drapeau israélien sur leurs uniformes pointant les armes sur les civils.
Mais les symboles israéliens ont été retirés de l’affichage mardi, à la suite d’un tollé général du chef de mission adjoint Assaf Moran.
L’exposition présentée au centre de Madrid fait partie de l’exposition « I Love Lego » au palais Gaviria et a été repérée par Moran lors d’un voyage avec ses enfants.
Moran s’est plaint aux organisateurs de l’exposition qui, à leur tour, lui ont présenté les notes explicatives de l’exposition, selon lesquelles celle-ci décrivait « un événement historique » des jours après la fin de la guerre.
« L’opération Vengeance est un diaporama spectaculaire (modèle 3D) d’un événement historique qui s’est déroulé en 1945 à Priuli, dans le nord de l’Italie. La scène reconstruite symbolise les attaques de vengeance menées par les brigades antinazies », lit-on dans la note.
Mais Moran a souligné que l’exposition présentait des soldats israéliens trois ans avant la création de l’État juif. Par conséquent, a déclaré le diplomate, l’exposition déformait l’histoire et induisait le public en erreur.
« Il y a un double mensonge ici. Premièrement, l’exposition montre des soldats israéliens pointant leurs armes sur des civils sans fournir de contexte. Par conséquent, les visiteurs de l’exposition perçoivent Israël comme un État violent et agressif », a déclaré Moran.
« La deuxième explication fournit en réalité une sorte de justification pour l’exposition, à la différence qu’elle est complètement fausse et ne justifie certainement pas le drapeau israélien à un moment où l’État juif n’était pas encore établi. Si des soldats avaient mené des attaques de vengeance contre les nazis, ils portaient des uniformes britanniques « , a ajouté Moran.
À la suite des plaintes du diplomate, le directeur du musée a retiré toutes les références israéliennes de l’exposition.
Ce n’est pas la première fois qu’une exposition européenne choque les sensibilités israéliennes.
En 2004, l’ambassadeur israélien en Suède, Zvi Mazel, a détruit une exposition à Stockholm qui paraissait glorifier les attentats-suicides en Israël, qui étaient alors à leur comble.
L’installation, intitulée « Blanche-Neige et la folie de la vérité », consistait en une mare d’eau colorée ressemblant à du sang, sur laquelle flottait un petit bateau étiqueté « Blanche-Neige » portant l’image de Hanadi Jaradat, auteur d’un suicide Attaque au restaurant Maxim à Haïfa en 2003, faisant 21 morts.
Mazel, qui a été invité à l’inauguration, a détruit l’installation avec fureur, provoquant une fureur diplomatique.
Source :
www.ynetnews.com
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Avis, donc, aux prétendants à la nationalité spanish.
Fake et usage de fake, et, circonstance aggravante, visant la réalité vue par…les enfants ! Puisque Lego!
Enfin, on peut désormais évaluer à quel point l’infection est profonde.
À ce stade, ce n’est plus une thérapie qu’il faut envisager, mais des obsèques.
En passant, si les Juifs avaient été rancuniers, c’est le monde entier qu’ils auraient detruit, à part quelques uns.
En lieu de cela, ils n’ont réclamé « que » la restitution de la spoliation. Pour laquelle les pieds traînent encore.
Pour le remboursements des âmes, qu’ils s’adressent au Ciel.
Mais je doute, vu leur ardente haine, qu’ils y trouvent une Oreille compatissante.