Les gazaouis peuvent maintenant quitter Gaza

Départs massifs de Gazaouis

Israël a récemment achevé la mise en place d’un dispositif inédit visant à permettre à un nombre important de Gazaouis de quitter la bande quotidiennement, dans le cadre d’un projet bien orchestré sous l’égide du ministre de la Défense, Israël Katz. Selon des sources de sécurité, trois itinéraires principaux – maritime, aérien et terrestre – ont été aménagés pour offrir aux habitants de Gaza une chance de migration organisée, à condition que des pays de destination soient prêts à les accueillir.

Le mécanisme instauré prévoit qu’environ 2 500 personnes puissent sortir chaque jour de la bande de Gaza. Ce dispositif, élaboré dans un contexte où plus de 2 millions de Palestiniens résident dans la région, représente une réponse stratégique à une situation humanitaire et sécuritaire complexe. Un itinéraire proposé passe par le port d’Ashdod, permettant ainsi aux Gazaouis de quitter la région par voie maritime. Cette option est particulièrement adaptée pour les transferts de groupes de personnes vers des pays partenaires qui ont manifesté leur intérêt.

Une seconde voie d’accès s’appuie sur l’aéroport Ramon à Eilat. Initialement réservé au transfert des blessés évacués de Gaza, cet aéroport est désormais opérationnel pour des départs réguliers. Environ 1 500 habitants ont déjà bénéficié de cette route aérienne pour rejoindre d’autres pays, soulignant l’efficacité du dispositif mis en place. Ces opérations, qui se déroulent sous des conditions strictes et sécurisées, démontrent la capacité d’Israël à organiser des évacuations en temps de crise.

Le passage de Rafah, quant à lui, reste un corridor crucial vers l’Égypte. Depuis le début du conflit, environ 35 000 personnes ont quitté Gaza par cette route, se dirigeant vers un premier havre de refuge avant de potentiellement rejoindre d’autres destinations internationales. Ces mouvements massifs témoignent de la volonté d’Israël de faciliter la sortie des civils et d’offrir une alternative aux populations bloquées dans des conditions souvent très difficiles.

Au-delà de ces initiatives officielles, un plan parallèle a été présenté par le mouvement « Les réservistes israéliens – Génération de la victoire ». Ce dernier propose, sur la base des principes du droit international, une migration volontaire organisée pouvant concerner jusqu’à 1,7 million de Gazaouis. Le projet envisage des départs par voie aérienne, maritime et terrestre vers divers pays, notamment l’Égypte, la Libye, les États du Golfe et d’autres nations prêtes à intégrer ces populations. Ce plan comprendrait le financement intégral du départ, des solutions temporaires d’hébergement ainsi qu’une aide financière destinée aux migrants, le tout pour un coût estimé à 100 milliards de dollars, somme inférieure au coût envisagé pour la réhabilitation de la bande de Gaza.

Le président du mouvement, le major (réserviste) Gilad Ach, a déclaré : « Nous présentons un plan ordonné pour éliminer la menace permanente qui pèse sur les citoyens israéliens de la bande de Gaza… Une occasion unique a été créée pour exploiter la fenêtre d’opportunité ouverte par l’administration américaine actuelle. » Ces propos illustrent bien la détermination d’Israël à prendre des mesures résolues pour protéger sa population tout en cherchant à résoudre durablement la crise humanitaire dans la région.

Le dispositif de migration ainsi mis en place s’inscrit dans une stratégie globale d’Israël visant à réduire les tensions à sa frontière tout en allégeant la charge humanitaire qui pèse sur Gaza. En permettant aux membres des familles de personnes malades ou blessées de quitter la zone, Israël montre qu’il agit en accord avec une logique pragmatique et sécuritaire. La majorité des Gazaouis qui ont déjà quitté la bande ont trouvé refuge dans des pays arabes, tandis que certains se sont installés en Roumanie ou en Italie avec l’intention de ne pas revenir.

Cette approche témoigne d’un engagement fort en faveur de la protection des civils tout en assurant que le risque pour la sécurité nationale soit minimisé. La mise en œuvre de ce plan s’inscrit dans une perspective plus large, en cohérence avec le « plan Trump » auquel Israël a exprimé son soutien. En effet, la stratégie actuelle, qui favorise la migration organisée et contrôlée, apparaît comme une solution équilibrée permettant à la fois de soulager les souffrances des habitants de Gaza et de sécuriser les frontières israéliennes.

Les préparatifs pour la migration des Gazaouis démontrent la capacité d’Israël à agir de manière proactive dans un contexte de crise humanitaire et sécuritaire. Grâce à un dispositif innovant et des partenariats internationaux, Israël parvient à offrir des solutions concrètes pour réduire la pression dans la bande de Gaza, tout en garantissant la protection de ses citoyens. Cette approche résolument pragmatique et stratégique confirme que, sous une direction ferme et visionnaire, Israël reste déterminé à sécuriser son territoire et à agir en faveur d’un avenir plus sûr pour la région.

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MKG

Putain, les Palos en Italie et en Roumanie. On n’aurait pas pu les envoyer uniquement dans les pays Reubeux ?

Asher Cohen

2500 par jour, c’est déjà pas mal, mais cela va s’accélérer rapidement, car crever de faim et risquer de mourir sous les bombardements, ce n’est pas une vie rêvée. Cette stratégie aurait-du être mise en place depuis bien longtemps, et l’on voit bien combien Katz est meilleur que Gallant à la Défense. C’est la meilleure solution, à la fois humanitaire et sécuritaire.

Ratfucker

Ce devrait être le rôle de l’Agence Juive de trouver des pays d’accueil. Ex: le Vénézuela, où l’Iran a acheté 1 million d’hectares et ne trouve pas de colons.

Sam de BEO

Je suggère de les recevoir en france, macrone dont des dizaines de conseillers sont arabes islamistes, adore. Ses conseillers préférés sont jul (nique la france, encules la bonne mère) et yassine bellatar, islamiste avoué et artiste amuseur qui faire rire les cons.

richard MALKA

Pour que la bombe atomique française finisse aux mains des arabes…vu l’état de la France on devrait commencer à se poser la question surtout quand on sait que les principaux danger du nucléaire sont: le terrorisme et la crise economique.