Les exigences inacceptables du Hamas
Le Hamas refuse de désarmer
Les récentes négociations entre les États-Unis et le Hamas ont mis en lumière les exigences particulièrement audacieuses du groupe terroriste. Selon le journal qatari Al-Arabi al-Jadeed, le représentant spécial américain pour les otages, Adam Buehler, a rencontré les dirigeants du Hamas pour discuter d’un accord global visant à résoudre la crise à Gaza. Cependant, les propositions américaines, notamment le désarmement du Hamas, ont été catégoriquement rejetées par l’organisation terroriste.
Une trêve conditionnée par le maintien du Hamas
Le Hamas a proposé un plan incluant une trêve de 10 ans entre toutes les organisations terroristes et Israël, non seulement dans la bande de Gaza, mais aussi en Judée-Samarie et à Jérusalem-Est. En retour, Israël devrait garantir la survie des « factions de résistance » dans ces territoires et préserver le statu quo à Jérusalem. Selon les dirigeants du Hamas, cette proposition bénéficie du soutien de l’ensemble des groupes palestiniens.
En échange de cette trêve, le Hamas se dit prêt à libérer tous les otages israéliens encore détenus et à discuter du sort d’une partie de son arsenal, notamment des missiles. Toutefois, le groupe a insisté sur un point fondamental : il n’acceptera jamais un désarmement total, quelle que soit l’évolution politique ou la création éventuelle d’un État palestinien.
Un refus clair du désarmement
Lors de cette rencontre, le Hamas a réaffirmé son refus de se séparer de ses armes, conditionnant toute discussion future à la garantie d’une solution politique claire pour la Palestine. Cette position n’a rien de nouveau : dans les précédentes négociations avec l’Égypte, le Hamas avait déjà fait savoir qu’il ne renoncerait pas à son arsenal tant qu’il n’y aurait pas de perspectives précises pour un État palestinien.
Le plan présenté par l’Égypte à la Ligue arabe visant à stabiliser Gaza ne mentionne d’ailleurs pas le sort de l’aile militaire du Hamas. Or, pour Israël, la question du désarmement du groupe terroriste reste une priorité absolue. L’État hébreu refuse toute solution qui permettrait au Hamas de conserver une capacité militaire, considérant que cela ne ferait que prolonger le cycle de violence.
Mécontentement israélien face aux négociations américaines
Les discussions entre les États-Unis et le Hamas ont suscité de vives réactions en Israël. Le gouvernement israélien a exprimé son mécontentement face aux négociations menées sans sa participation. Ron Dermer, ministre israélien, a officiellement protesté contre ces tractations en marge des efforts israéliens pour éradiquer la menace terroriste.
Face à cette contestation, Adam Buehler a confirmé avoir reçu la plainte israélienne, tout en précisant que les États-Unis poursuivaient leurs propres objectifs stratégiques dans la région. « Nous sommes les États-Unis, pas des agents d’Israël », a-t-il déclaré, soulignant que Washington maintiendrait une politique indépendante dans la gestion de la crise.
Israël déterminé à neutraliser le Hamas
Le refus du Hamas de se désarmer et les tentatives américaines de négocier en parallèle d’Israël ne font que renforcer la détermination de l’État hébreu à poursuivre son offensive contre l’organisation terroriste. Pour Israël, toute solution durable passe par l’élimination des capacités militaires du Hamas afin d’assurer la sécurité à long terme de ses citoyens.
L’État israélien considère que céder aux exigences du Hamas reviendrait à légitimer un groupe terroriste qui a mené des attaques meurtrières contre des civils. En conséquence, Israël continue d’affirmer que seule une victoire militaire totale pourra garantir la fin des menaces et assurer un avenir plus stable pour la région.
Jforum.fr
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Il serait peut-être temps de donner l’estocade.
Pour donner l’estocade et éradiquer le hamas, il faut une armée qui se retrousse les manches, avec des généraux qui fassent l’effort de réfléchir et de travailler, au lieu de glander. Malheureusement, nous avons une armée de petits rigolos, irresponsables, des jean-foutres, parfaitement incapables de libérer les otages. Elle est actuellement en plein remaniement, mais cela prendra du temps car pendant 17 mois, Netanyahou a hésité à tirer la chasse d’eau et à passer la balayette. Avec les Juifs, il faut être patient. Attendons et nous verrons.
… une trêve de dix ans … pas de désarmement …. Mais ils rêvent ces cloportes criminels! JAMAIS! Vous entendez JAMAIS! Vous serez éradicés Comme de la mauvaise herbe. POINT!
Israël est censé être l’État Nation du Peuple Juif, mais c’est un pays où :
-non seulement le Droit de vivre des Juifs n’est pas assuré, par une armée défaillante de ratés, immatures et irresponsables, et les Juifs y sont massacrés, pris en otages et torturés par les squatters arabes. Les Juifs doivent ne compter que sur eux-mêmes pour défendre leur Droit de vivre, tout en étant contraints à payer des impôts et taxes pour entretenir une armée de tocards irresponsables.
– non seulement les Juifs doivent trimer dûr pour financer les livraisons de vivres, médicaments, essence, eau potable et électricité pour les gentils gazaouis qui les tuent, font crever de faim les otages et leur font boire de l’eau de mer non dessalée.
-mais actuellement et en prime, le hamas demande aux Juifs de lécher le cul des terroristes qui leur pètent au nez, et de leur donner leurs femmes pour s’amuser. Vive les Askénazim à l’humanisme débordant de générosité !
Avec tout cela, la mémoire des Sionistes du temps de Pinsker, d’Asher Ginsburg et d’Herzl n’est pas insultée? Où sont donc Trumpeldor, Jabotinski, Ben Gourion et Golda Meir ? Juifs, qu’attendez-vous pour aller vivre dans ce paradis terrestre qu’est devenue la Terre de vos ancêtres?
Les rats qui sont sous terre pour envoyer des missiles, se permettent tout et même l’inimaginable, mais ces rats réfléchissent et ils savent qu’ils ont affaire à des dirigeants Juifs peureux qui depuis le début de l’indépendance, ils ont fait des cadeaux d’une énormité incommensurable aux ratons. Une chose dont je ne partage pas l’avis de Asher. Il s’agit de Ben Gourion qui malencontreusement a offert la téouda aux trois cent mille arabes qui squattaient encore le pays,au lieu de les virer, pour moi il s’agit d’une bourde énorme, même de la part de quelqu’un qui ne semblait pas appréhender la mentalité musulmane. En ce qui concerne les dirigeants suivants, notamment Dayan qui a fait cadeau du lieu saint Juif, Mont du Temple à un bougnoule bombardé roi par les anglais et dans la connerie des dirigeants suivants, la liste s’étant à perte de vue.
Tous les dirigeants d’Israël depuis 1948, furent des Askénazim qui n’appréhendaient pas la mentalité musulmane, mais aussi tous, à part peut-être Golda Meir et Begin, ont attaché plus d’importance à l’image d’Israël auprès de la prétendue » communauté internationale », quitte à sacrifier la vie de nombreux Juifs, tout en se laissant manipuler par le faux concept d’humanisme. Ben Gourion a commis des douzaines de bévues, et effectivement il a gardé 150.000 squatters arabes en Israël, au lieu de les expulser dès 1949, et ce alors qu’en décembre 1961, il n’a pas hésité à donner 120.000 Juifs d’Algérie à De Gaulle. Selon Tom Segev » il préférait le petit tailleur de Plonsk en Pologne, au médecin Juif d’Alger diplômé de la Sorbonne ». Mais il a quand même eu le courage de proclamer l’État Juif le 14 mai 1948, alors que le 8 mai, le général Marshall avait dit à Moshé Shertok » si vous proclamez Israël, les armées arabes vous envahiront et vous ne recevrez aucune aide de l’Amérique ». Pouvez-vous en dire autant de Netanyahou qui ne jure que par les États-Unis?
Ce que je veut dire c’est que s’il y avait un Trumpeldor ou Jabotinski ou Golda Meir, actuellement à la tète de l’État, le hamas aurait été liquidé et les otages rapidement libérés, et vivants. Voilà pourquoi je dis que Netanyahou est un faible, non par peur, mais parce qu’il préfère sacrifier la vie de milliers de Juifs pour se la jouer théâtrale sur la scène internationale. Mais les générations actuelles de dirigeants israéliens n’ont pas la force de caractère des anciennes générations et c’est flagrant.