Le Likoud rejoint l’alliance Patriots.eu : un tournant controversé dans la politique internationale
L’alliance européenne d’extrême droite, Patriots.eu, a annoncé dimanche l’adhésion du Likoud en tant que membre observateur. Ce geste marque la première fois qu’un parti non européen rejoint cette coalition, suscitant des réactions diverses sur la scène politique internationale.
Une alliance controversée
Patriots.eu regroupe des partis de droite et d’extrême droite à travers l’Europe, visant à coordonner leurs actions au Parlement européen. Fondé par le Premier ministre hongrois Viktor Orban, le groupe est dirigé par Jordan Bardella, figure du Rassemblement national en France. Toutefois, certains membres de cette alliance, comme le Parti de la Liberté (FPÖ) d’Autriche, restent hautement controversés, notamment au sein des communautés juives européennes en raison de positions perçues comme proches des idéologies nazies.
Des critiques virulentes ont émergé, notamment de l’Union autrichienne des étudiants juifs, qualifiant le FPÖ de « nazis de cave ». Oskar Deutsch, président de la communauté juive de Vienne, a exprimé des préoccupations similaires. Bien que ces accusations soient contestées, elles soulignent la complexité des alliances politiques actuelles.
Le Likoud au cœur des critiques
L’intégration du Likoud à Patriots.eu a déclenché des réactions vives sur les réseaux sociaux. Certains y voient une preuve d’un rapprochement entre le sionisme et des idéologies d’extrême droite, attisant des débats polémiques. Cependant, des observateurs soulignent que des partis membres de l’alliance, comme le Rassemblement national et Fidesz, ont adopté des positions pro-israéliennes, notamment depuis les événements du 7 octobre.
L’AfD en quête d’acceptation
En parallèle, l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) tente de rejoindre Patriots.eu. Bien que des rumeurs aient circulé sur son adhésion, sa demande a été rejetée jusqu’à présent. Des tensions existent entre l’AfD et d’autres membres influents de l’alliance, comme Giorgia Meloni et Marine Le Pen, cette dernière ayant publiquement déclaré son refus de siéger aux côtés de l’AfD au Parlement européen.
Pour améliorer ses relations internationales, l’AfD a initié des rencontres diplomatiques, notamment entre Alice Weidel et Viktor Orban, ainsi qu’entre Tino Chrupalla et des responsables du FPÖ. L’AfD espère capitaliser sur ces contacts pour renforcer sa position lors des prochaines élections allemandes, où elle pourrait atteindre 20 % des voix selon les sondages.
Un paysage politique en mutation
Ces développements révèlent un paysage politique européen en pleine mutation, où les alliances transnationales redéfinissent les clivages traditionnels. L’adhésion du Likoud à Patriots.eu soulève des questions sur l’évolution des stratégies diplomatiques israéliennes et les répercussions de ces choix sur la scène internationale.
Jforum.fr
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BRAVO POUR CE TITRE ! ! !
Il signifie clairement désormais, que la qualification « Extrême Droite », n’est plus péjorative chez une majorité de Juifs.
Nous disons Baroukh Hachem.
Maintenant, imposons le contraire : gauche = déchet antijuif.
Pour faire plaisir aux tarés, on fera semblant de distinguer entre :
Pourquoi toujours en rajouter?Patriots est comme l´indique son nom pour la défense de la Patrie et n´a aucune accointance avec l´extrême-droite! Vous êtes vraiment fatigant à lire avec vos affirmations erronées voir tendancieuses.
Ton commentaire est attardé.
A l’exception des rares amis, toute la vermine de francekipu et des restes de l’UE, qualifie « Extrême Droite », tous les pro israéliens.
La pourriture nazie originale était de gauche. Les pétainistes étaient de gauche. Depuis toujours les déchets antijuifs les plus nuisibles se disent de gauche.
Etre de gauche, c’est une insulte, pour une personne sensée, un patriote et à plus forte raison, pour un juif.
C’est avec fierté que nous revendiquons le qualificatif « d’extrême droite » donné par nos ennemis à exterminer.
Crachons sur les prétendus rédacteurs qui insinuent, surtout, s’ils sont Juifs.