Le Hamas affirme avoir accepté la dernière proposition de trêve
Les tentatives pour conclure un cessez-le-feu durable entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza semblent buter sur d’importants différends, en dépit des efforts intensifs de médiation menés par l’Égypte, le Qatar et les États-Unis. Après plus de sept mois d’affrontements meurtriers, la recherche d’une issue diplomatique à ce conflit se heurte à des positions pour l’heure irréconciliables.
D’un côté, le mouvement palestinien affirme avoir accepté la dernière proposition de trêve formulée par les médiateurs arabes et l’émissaire américain William Burns. Selon un responsable du Hamas, Taher Al-Nono, cette offre répondrait aux principales exigences du groupe, parmi lesquelles figurent des efforts de reconstruction dans l’enclave palestinienne dévastée, le retour des déplacés dans leurs foyers et l’échange de prisonniers avec Isräel.
De l’autre, les autorités israéliennes balayent ces affirmations d’un revers de main. Un haut responsable, sous couvert d’anonymat, a dénoncé une « ruse » du Hamas visant à faire passer Israël pour le principal obstacle à la paix. Selon lui, la proposition acceptée ne serait qu’une « version édulcorée » de l’offre initiale égyptienne, comprenant des éléments inacceptables pour l’État hébreu. Pour d’anciens responsables israéliens de la sécurité, cet « accord » n’existerait pas réellement. Selon une source citée par la presse locale, il s’agirait d’une « proposition inventée » par le mouvement palestinien, dans une tentative de bloquer toute nouvelle offensive israélienne.
Sur le terrain, cette impasse diplomatique alimente les craintes d’une nouvelle escalade militaire. A Rafah, ville clé du sud de la bande de Gaza, l’armée israélienne a entamé l’évacuation de populations civiles palestiniennes, suscitant une vague de condamnations.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu semble sourd aux mises en garde. Après un appel avec le président américain Joe Biden, il a réaffirmé avec force la détermination de son pays à poursuivre son opération militaire, jugée nécessaire pour « exercer une pression » sur le Hamas et obtenir la libération d’otages israéliens.
Face à ce risque d’embrasement, la diplomatie internationale tente d’ultimes efforts pour sortir de l’impasse. Le directeur de la CIA William Burns, après avoir rencontré les médiateurs arabes, devrait se rendre prochainement en Israël selon des sources américaines, qui évoquent un « moment très délicat » appelant une « diplomatie intense ».
Le gouvernement israélien semble déterminé à poursuivre son opération militaire prévue dans la ville palestinienne de Rafah, et ce malgré les affirmations du Hamas d’avoir accepté une proposition de cessez-le-feu émise par l’Égypte et le Qatar. Lundi soir, le cabinet de guerre israélien a donné son feu vert unanime pour la poursuite des hostilités visant à « exercer une pression militaire » sur le mouvement palestinien.
Selon le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu, l’objectif serait de « promouvoir la libération des otages » israéliens détenus par le Hamas et « d’atteindre les autres objectifs » fixés par l’État hébreu dans cette guerre qui s’éternise. Une détermination réaffirmée quelques heures après que l’armée israélienne a mené des « frappes ciblées » contre des positions du Hamas dans l’est de Rafah.
Pour autant, le Premier ministre n’a pas complètement fermé la porte aux négociations. Il a annoncé l’envoi d’une délégation de médiateurs, malgré le fait que « la proposition est loin de répondre aux exigences nécessaires d’Israël ». L’objectif serait d' »épuiser les possibilités de parvenir à un accord dans des conditions acceptables ».
« Ce soi-disant ‘accord’ est la preuve que nous venons tout juste de commencer à faire pression en promouvant une entrée terrestre à Rafah, et nous avons soudainement reçu le feu vert du Hamas pour un accord d’échange de prisonniers et un cessez-le-feu », a dénoncé cette source auprès du Jerusalem Post.
Si les efforts diplomatiques se poursuivent, le ton semble donc monter d’un cran sur le terrain, où les deux camps campent sur leurs positions. D’un côté, le Hamas brandit une hypothétique trêve pour tenter d’éviter une invasion terrestre. De l’autre, Israël réaffirme sa ferme intention d’exercer une pression maximale pour atteindre ses objectifs militaires et sécuritaires. Un face-à-face qui laisse présager de nouvelles violences à Rafah.
Jforum.fr
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Et voilà, toute la planète donne de la voix pour exiger qu’Israël s’éloigne de Rafah.
Parmi ceux qui crient le plus fort, il y a Biden la marionnette détraquée qui s’apprête à faire un très mauvais coup à Israël, et il est prêt à aller jusqu’au bout.
Il opère en compagnie du Qatar-Terroriste-Voyou qui fait semblant de négocier la libération des otages, alors qu’il se bat de toutes ses forces pour sauver la peau des ordures animalisées du hamas, et provoquer la capitulation de Tsahal.
On entend que Biden le sénile, se serait engagé auprès du hamas pour lui accorder des avantages cachés, sans en informer Israël.
Il a décidé de « jeter Israël sous l’autobus » en signant un accord militaro-stratégique avec l’Arabie Saoudite, en échange de la reconnaissance d’un Etat-Palestinien-Pochette Surprise qu’il imposera à Israël pour le faire disparaître définitivement.
Biden la momie ressuscitée est tellement obsédé par sa réélection, qu’il est prêt à tout pour y parvenir, sa clique l’a persuadé que ce sont les voix des arabo-musulmans-américains qui l’aideront à vaincre TRUMP.
Curieusement, les six millions de Juifs Américains se sont évaporés, et aucun responsable politique « Démocrates » ne s’est manifesté pour lui rappeler qu’ils votent depuis toujours pour ce parti, et qu’ils sont plus fidèles que les électeurs occasionnels qui font beaucoup de bruit et provoquent des émeutes violentes….
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Mazeltov, les tanks Juifs sont entrés dans Rafah et ont déjà pris le contrôle de la frontière sud avec l’Égypte. Déjà 100.000 gazaouis se sont enfuis en Égypte, bon vent! Les tueurs du hamas vont pleurer leur mère avec des larmes de sang. Pour une fois les Juifs ont mûri et n’ont pas eu besoin de l’approbation du Monde Entier pour se défendre. Hier, pour yom ha-Shoah, Netanyahou a déclaré qu’en 39-45 nous étions sans défense, et aucune nation ne s’est opposée à l’Holocauste. Maintenant nous avons grandi, sommes libérés de la haine de soi juive et ne nous laissons plus faire. Am Yisraël haï!
Attention mesdames et messieurs les journalistes, grande nouvelle ! Israel affirme avoir accepté la dernière proposition de trêve ! Cette proposition a été faite par une ile dans le Pacifique. Préparez vos gros titres, messieurs les journalistes ! Ces journalistes antisemites veulent toujours faire passer les israéliens pour les méchants de l’histoire et omettent de dire le mot « égyptienne » après le mot « trêve ».
Je ne parle bien sur pas de jforum mais des medias occidentaux.