Juste quelques policiers municipaux et un portique de sécurité pour protéger l’entrée du Centre universitaire méditerranéen (CUM) à Nice.

Face aux bancs de velours rouge de l’amphithéâtre du CUM, ils vont défiler toute la journée : experts israéliens de la sécurité, élus, ­patrons de start-up innovantes dans la lutte contre le terrorisme.

Arié Bensemhoun, directeur d’Elnet, le think tank à l’origine du symposium niçois, signale qu’après l’attentat du 14-Juillet, c’est une société israélienne, Lotan, qui a été appelée pour sécuriser les établissements scolaires de Nice.

Que la ville de Cannes avait déjà fait appel début 2016 aux services du général Nitzan Nuriel, conseiller ­antiterroriste de Benyamin Netanyahou, pour faire un audit complet de la sécurité du festival de cinéma.

Que le logiciel d’alerte sécuritaire ­inventé par la société israélienne Reporty est aujourd’hui demandé par de plus en plus de communes françaises.

Le directeur de l’aéroport Ben-Gourion, le seul ou presque au monde à imposer un filtrage des passagers en amont de l’aérogare, sur la route qui y mène, était à Nice cette semaine.

Il recevrait au moins une délégation étrangère chaque semaine pour venir tester l’inviolabilité de ses protections.

Surce : François Clemenceau, envoyé spécial à Nice (Alpes-Maritimes) – Le Journal du Dimanche

Source: JDD (Copyrights)

Source : Israël Valley

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