La Pologne sur le point de signer un contrat de plusieurs milliards pour l’acquisition des systèmes de défense aériens israéliens
Varsovie sur le point de signer une vaste commande de systèmes anti-balistiques Patriot développés par Israël et les Etats-Unis, en réponse aux tensions sécuritaires aggravées dans l’Est de l’Europe.
Le gouvernement polonais progresse vers la signature prochaine d’une vaste commande de systèmes anti-balistiques développés par les Etats-Unis et Israël.
La Société américaine Raytheon est un partenaire qui s’est associé avec la compagnie israélienne Rafael, dans le développement et la fabrication de ce type de missiles avancés et le Ministère de la Défense les a déjà autorisés à en formuler l’offre à la Pologne.
Au début du mois, le gouvernement polonais a annoncé avoir fait la demande à l’Administration américaine d’informations supplémentaires concernant la proposition de Raytheon pour l’achat d’un nouveau système de défense anti-aérien. Les Polonais veulent renforcer leurs défenses anti-aériennes contre les missiles balistiques et les avions de combat, comme conséquence de l’augmentation constante des tensions sécuritaires dans l’Est de l’Europe, provoquée ^par l’invasion russe de l’Ukraine et par l’occupation de la Crimée.
L’achat de huit batteries Patriot pourrait atteindre le prix de 7,5 milliards de $. Dans une tentative pour diminuer les coûts consécutifs à un tel accord, les Polonais préfèrent acheter ce système doté des ogives israélo-américaines sur les missiles intercepteurs [identiques à celles en usage sur la « Fronde de David »?], qui coûte considérablement moins cher que les nouveaux intercepteurs Patriot. Dans un tel cas, la part de Rafael dans ce schéma à concrétiser atteindrait plus d’1 milliard de $ dans le cadre de ce contrat.
Bien qu’ils n’aient pas encore annoncé officiellement leur choix pour le Patriot, plutôt que pour le système Midas proposé par Lockheed Martin et ses partenaires européens, les Polonais ont fixé le mois de Novembre comme date-butoir pour la signature du contrat d’achat et ont fait clairement comprendre qu’ils s’attendent à recevoir les deux premières batteries avant la fin 2019.
La Pologne, membre de l’OTAN, insiste pour que 50% du contrat soit réalisé par des compagnies locales. Entre autres, les Polonais recherchent la possibilité de pouvoir fabriquer chez eux les Intercepteurs Stunners, qui sont actuellement produits en Israël. On s’attend à ce que le Ministère de la Défense accède à cette exigence.
Il y a plusieurs années, la Pologne à acheté 1000 missiles Spike antitank à Rafael, dans le cadre d’un contrat d’une valeur de 150 millions de $ et elle est en passe de commander à nouveau une quantité supplémentaire de ces missiles israéliens.
Armée polonaise à l’entraînement avec le Spike made in Israel.
(Traduit et édité par J. Herzog)
Apres avoir massacrer les Juifs , la pologne achete de l armement en Israel ,chez les Juifs !
La Pologne n’a jamais massacré les juifs les camps de concentration était Allemands. La Pologne aurait collaboré sinon alors qu’elle c’est battu jusqu’à la fin. Avec des héros juifs qui ont aidé les Polonais en combattant dans la résistance main dans la main l’officier Stanislaw Aronson en est un bon exemple. ne confondez pas les camps de concentration Allemands en territoire occupé de Pologne. Et là Pologne qui a défendu les juifs au prix de million de Polonais.
On ne peut pas garder une vision uniquement héroïque et romantique du comportement polonais ou de tous les Polonais durant cette période : évoquons aussi deux faits : Massacre de Jedwabne —
Le pogrom de Jedwabne fut le massacre des habitants juifs de cette localité et de ses environs par des Polonais en juillet 1941 au cours de la Seconde Guerre … : 340 morts, a minima, une présence minimale d’Allemands et des accusations de collaboration des Juifs avec les Soviétiques, lors de l’occupation préalable (Molotov-Ribbentrop)… L’affaire n’est toujours pas claire.
Et le Pogrom de Kielce —
Le pogrom de Kielce du 4 juillet 1946 est une flambée de violence contre des résidents juifs. Le massacre est présenté comme résultat d’une suite de rumeurs sur des enlèvements d’enfants … Le 1 juillet 1946 , un garçon de huit ans, polonais non juif, Henryk Błaszczyk, fut porté disparu par son père Walenty. (etc) ; le nombre de victimes décédées s’élève à 42 personnes avec 40 autres blessées. En dépit d’une milice importante et d’une présence militaire dans la ville de Kielce, des Juifs y avaient été assassinés de sang-froid, en public, et pendant plus de cinq heures. On chuchotait que la milice et l’armée avaient pris part au pogrom. De juillet 1945 à juin 1946, environ cinquante mille Juifs passèrent la frontière polonaise illégalement. En juillet 1946, presque vingt mille décidèrent de quitter la Pologne. En août 1946 le nombre crut à trente mille. En septembre 1946, douze mille Juifs quittèrent la Pologne. »
En 1968, 92.000 derniers Juifs de Pologne ont quitté le pays, à cause des vagues antisémites certes « communistes », mais où l’homme de la rue participait. Il en resterait 5.000.
Il y a eu ici ou là des manifestations de « main dans la main », des partisans ont donné ou vendu des armes aux Juifs de Varsovie insurgés, mais globalement beaucoup trop de Polonais se sont réjouis de la déportation des Juifs. En revanche, Yad Vashem recense au moins 600 Justes qui étaient indubitablement dotés d’une conscience et disposaient d’une culture non entachée par un antisémitisme atrabilaire cultivé par l’Eglise.
C’est en ouvrant les yeux qu’on guérit du pire des aveuglements. Aujourd’hui encore une partie de la Pologne bienveillante agit contre les exactions de l’autre partie. Mais beaucoup trop de Polonais continent d’accuser les Juifs de diffuser des « rumeurs » (comme ces massacres avérés) et de ternir l’image sainte de la Pologne. Ce qui est une façon d’entretenir l’ignorance et le mépris. Si nous sommes sincères, alors soyez à la hauteur de ce travail de « reconstruction ».