
Avigdor Liberman Photo de Noam Revkin Fenton / Flash90
Parallèlement aux ultimes efforts pour convaincre Avigdor Lieberman d’entrer dans la coalition, le Premier ministre a demandé au Likoud de préparer un texte de loi de dissolution-éclair de la Knesset qui serait déposé mercredi soir, à la fin du second délai accordé par le président de l’Etat au cas où rien n’aurait bougé d’ici là.
Visiblement irrité par l’attitude de l’ancien ministre de la Défense, Binyamin Netanyahou a dit en préambule du conseil des ministre qu’avec un peu de bonne volonté, les choses se résoudraient très rapidement mais « qu’il y a apparement quelqu’un qui a d’autres intentions », allusion à Avigdor Lieberman.
Le Premier ministre a également regretté le fait qu’Israël risque de se voir entraîné dans de nouvelle élections superflues.
En attendant, les attaques réciproques se poursuivent entre le président d’Israël Beiteinou d’un côté et les partis orthodoxes et le Likoud de l’autre, chacun reprochant à l’autre la responsabilité de l’impasse qui semble insoluble.
Lors du conseil des ministres, le Premier ministre a révélé que les partis orthodoxes avaient fait 90% des pas vers Avigdor Lieberman concernant la loi de conscription dans Tsahal et qu’il ne restait plus qu’un point à régler: qui du gouvernement ou de la Knesset fixera les quotas d’étudiants des yeshivot devant effectuer chaque année un service national.
Les partis orthodoxes accusent quant à eux l’ancien ministre de vouloir tout simplement empêcher Binyamin Netanyahou de devenir Premier ministre, ceci malgré ses déclarations.
De son côté, Avigdor Lieberman accuse le Likoud et Binyamin Netanyahou de « mentir » et de « ne pas honorer leurs engagements ».
Par ailleurs, lors de la réunion convoquée par le Premier ministre avec les ministres Likoud pour les mettre au courant des dernières nouvelles sur les pourparlers en cours, le ministre Yariv Levin a annoncé qu’un accord avait été conclu avec les trois partis religieux quant au maintien du statu-quo sur les questions touchant aux relations entre Etat et religion.
Lors de cette même réunion, Binyamin Netanyahou a notamment dit: « Lieberman cherche toutes les excuses pour me faire tomber. Mais la population ne lui pardonnera pas de l’avoir entraîné dans de nouvelles élections la même année. Les petits partis ne comprennent pas qu’en cas de nouvelles élections, il y aura deux gros blocs qui ne laisseront plus rien autour d’eux ».
Photo Noam Revkin Fenton / Flash 90
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je ne suis pas un grand fan de monsieur Lieberman , mais la , je lui donne raison , les ultras orthodoxes , vivent de toutes les aides de l etat , que le citoyens israeliens paies .c est inadmissible que nos fils defendent de leurs vies ce pays , en plus , proteger et defendre des feneants d orthodoxes . Avec l excuse que ces messieurs etudient la Bible .