Cannibalisme, perversions sexuelles, viols et souffrances inutiles infligées aux animaux : la descente de l’Islam moyen-oriental vers les abîmes primitifs 

Le monde islamique du Moyen-Orient est en pleine plongée dans un passé pré-humain obscur et oublié : l’âge de Bronze, le monde de l’esclavage, du sacrifice humain, des traditions de prostitution sacrée, de croyances en des conspirations diaboliques et, maintenant, encore plus terrible : des rituels de cannibalisme. Et c’est ce gentil Club Med. que les Européens, en perte de repères moraux, accueillent à bras ouvert avec des fleurs.  

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Femmes Yézidies luttant contre l’esclavage sexuel de leurs parentes… 

Dans les années 1990,alors que je travaillais sur un article portant sur les animaux errants, j’ai visité un refuge pour chiens et chats situé entre Jérusalem et Ramallah.

Le directeur du refuge m’a alors parlé de la vie misérable de ses petits protégés, en se lamentant sur le fait que de nombreux chiens des villages arabes étaient amenés ici dans un état terrible : ils étaient battus, tenus affamés au bout d’une laisse sous le soleil brûlant et on s’en débarrassait quand on en n’avait plus besoin.

Pourquoi? Le directeur du refuge n’a pas pu m’en donner une explication claire. Seulement plus tard, j’ai appris qu’un tel comportement envers les chiens était en fait la norme pour les Musulmans, parce que les chiens, selon l’Islam, « sont des animaux impurs ».

Instructions are given by Islamic clerics on child marriage, bestiality and how to beat women properly.
Des Instructions précises sont stipulées par les Imams de l’Islam, concernant le mariage des enfants, la bestialité ou la façon convenable de battre ses femmes. 

Les chiens ne sont pas les seules victimes « de la colère et de la frustration palestinienne » [ voir Charles Enderlin qui en connaît un rayon]. En 2000, l’anglaise Lucy Fensom a mis sur pied un Havre sûr pour les ânes en Terre Sainte, afin d’aider le vieux ânes malades abandonnés comme inutiles par les Arabes. Les ânes font l’objet à des abus réguliers de la part des adolescents palestiniens. « Les fiers combattants contre l’occupant » les utilisent comme « martyrs » [shahids], en leur attachant des explosifs et en les envoyant vers les Israéliens. Il y a un autre genre de distraction : ils peignent l’âne selon les couleurs du drapeau israélien, le torturent, brûlent l’étoile de David sur son dos, l’imbibent d’essence et le brûlent vivant. 

De cette façon, à travers les relations tissées entre les animaux et les gens, j’ai commencé mon périple dans la jungle du monde musulman au Moyen-Orient – ce monde pervers et cruel, plein d’anomalies et de pathologies, de colère irrationnelle et de superstitions innombrables.  C’est un monde où une femme, un enfant, une personne qui aurait des anomalies sexuelles ou psychologiques, sont voués au même destin que le pauvre chien ou l’âne misérable. C’est un monde hanté par les djinns, les esprits, les croyances en la conspiration, régi par la pédophilie légalisée et l’esclavage véritable, « le code d’honneur » et le fanatisme sans limite, les structures de clans, l’attitude arrogante et suspicieuse envers le monde extérieur. C’est un monde qui nous renvoie à la préhistoire de l’humanité.

J’ai été surpris de découvrir ce monde. J’ai visité, de nombreuses fois, les républiques musulmanes de l’ancienne Union Soviétique. J’y ai vu des communautés tolérantes qui défendaient leurs traditions en face de l’Athéisme soviétique et cela inspirait le respect.

Des conflits meurtriers, après la chute de l’URSS, ont été provoqués par le choc de cette dissolution inattendue, faisant saigner les vieilles cicatrices et abcès, mais pas à cause du fanatisme religieux.

Le soulèvement de Dzhokhar Dudayev en Tchétchénie contre les Russes au début des années 1990 était la conséquence de l’éclatement du nationalise et d’anciennes blessures – en mémoire de la déportation barbare des Tchétchènes en Sibérie dans les années 1940. 

Mais, en général, les peuples musulmans d’URSS n’exprimaient pas d’intolérance religieuse marquée – les Russes, les Juifs, les Allemands, les Polacks (Polonais) ou Coréens déportés par Staline en Asie Centrale pourraient le confirmer.

Telles étaient les deux facettes de l’Islam, mais le secret de Janus était assez évident.

Involution de l’Islam

L’espèce humaine, tout au long de son existence la plus reculée, a désespérément tenté de se libérer des griffes acérées des instincts primaux obscurs, des marais visqueux de la nature primitive irrationnelle. C’était une mission difficile,mais les victoires ont été significatives.

Les idéaux moraux et spirituels du Judaïsme sont devenus le fondement du système de valeurs éthiques du monde occidental. La philosophie gréco-romaine de l’ancienne antiquité a rompu avec les croyances et pratiques primitives, en créant des systèmes uniques et inégalités, comme le Stoïcisme et l’Epicurisme, le Néo-Platonisme et le Gnosticisme.

Le Christianisme, étant passé par le feu des expériences et de moments de fierté, est retourné à ses racines et est devenu une des voies vers le salut spirituel et la justice sociale. Le Bouddhisme est une religion de consolation, d’élévation et de rejet des commencements charnels.

Les Païens étaient aussi prêts à abandonner les cultes primitifs, sous l’influence de civilisations hautement développées.

Les Hindous ne s’accrochaient plus aux rituels morbides « d’auto-immolation » des veuves (Sati) et des sectes Thuggee (« voyous » issus de l’Islam). Les peuples chrétiens d’Afrique et de Sibérie se débarrassaient presque facilement de superstitions abominables. Les descendants des Aztèques et des Incas du Mexique et du Pérou ne protègent plus leurs « droits sacrés » au sacrifice humain et les Maori et les Polynésiens, le cannibalisme rituel.

Les nations musulmanes de la périphérie du monde islamique, comme les Ouzbeks, les Kazakhs, les Azerbaïdjanais, les Musulmans d’Inde ou le peuple Hui en Chine, ne sont pas enclins au fanatisme religieux et aux pratiques des sociétés esclavagistes. Ils se perçoivent comme les héritiers de cultures qui sont plus antiques que l’Islam. En Ouzbekistan, des manuels d’histoire et des guides touristiques vous rappellent les anciens royaumes de Bactrie et Sogdiane. Les Kazakhs sont fiers de leur parenté avec l’Empire des Coumans. En Azerbaïdjan, on exhibe d’anciens temples Zoroastriens aux touristes.

D’un autre côté, le Christianisme, les grandes cultures de l’Inde et de la Chine et à notre époque – l’idéologie laïque soviétique ont adouci les croyances et préjugés archaïques de l’Islam. C’est en Asie Centrale, et ce n’est guère une surprise, où, au carrefour des civilisations, de grands érudits musulmans sont nés, comme le créateur de l’Algèbre, Ibn Musa Khwarizmi, les mathématiciens et astronomes Ibn Kathir al-Farghani, al-Farabi et Ibn Ahmad Biruni, le philosophe et physicien Ibn Sina (Avicenne). Ulugh Beg a inventé le premier observatoire à Samarkhand et le célèbre Babur n’était pas seulement un conquérant, mais aussi un poète, un écrivain et un universitaire (érudit). 

Aujourd’hui, les congrégations Soufies et les communautés Baha’ï, dont le centre mondial se situe à Haïfa, ne s’épanouissent que dans les banlieues du monde islamique, en Asie Centrale, en Azerbaïdjan, en Inde et en Afrique. Ce sont aussi les seuls lieux (et uniquement en Israël, pour tout le Moyen-Orient) que le courant vraiment humaniste de l’Islam – la Communauté musulmane Ahmadiyya (ou Ahmadisme)- ne fait pas l’objet de violentes persécutions. 

Mais au Moyen-Orient, seulement, dans la sphère de son pouvoir absolu, le Monde Musulman fait le trajet en sens inverse jusqu’à l’extrême. Non seulement il fait retourner l’être humain à l’état bestial, mais surtout il affirme qu’il s’agirait là du stade suprême des lois religieuses et des traditions!

La religion autrefois la plus avancée, harmonieuse et tolérante du Moyen-Âge, avec les quêtes spirituelles d’al-Ghazali, Jalal al-Din Rumi, Yunus Emre et Averroes, les allusions érotiques d’Omar Khayyam,  du Sheikh Nefzawi et d’Ibn Arabi; la religion des Califes de Bagdad et d’Andalousie — l’Islam s’est retranché de plus en plus en lui-même, plongé dans le bourbier de petits litiges sans intérêt, d’interdits, de dogmes absurdes et de narcissisme. Tous les mouvements de l’Islam moderne – depuis les « Frères Musulmans », “Hizb ut-Tahrir” et le Wahhabisme / Salafisme jusqu’aux Talibans, aux Dogmatiques Chiites d’Iran, “Al Qaida” et l »Etat Islamique », s’enfoncent tous plus profondément les uns que les autres vers le noir tunnel des préjugés pré-islamiques, des rituels occultes, des instincts primaires et du fanatisme pathologique. 

La Descente vers le sombre passé le plus reculé

L’Islam dit « moderne » se caractérise, en fait par tous les traits de la possession d’esclaves et des communautés les plus archaïques.

« Le monde du Croissant » (ou « Croissant Fertile ») est le seul endroit sur la planète où l’esclavage s’est épanoui légalement depuis des siècles et continue de prospérer sous une forme à peine voilée, de nos jours.

Formellement, l’Arabie Saoudite, le Qatar, les EAU et le Yémen ont aboli l’esclavage dans les années 1960, mais ces pays le pratiquent de façon informelle, mais activement, en ce qui concerne les travailleurs étrangers (Indiens, Philippins, Ceylanais [cingalais ou shri-lankais], Thaïs, etc). Tous sont sous le coup de règles de patronage (kafeel) qui représentent, de facto, un esclavage contemporain.

Les « Parrains » (tuteurs) ont un pouvoir absolu sur les migrants du travail. Ils peuvent les priver de leurs droits de résidence, confisquer leurs papiers, ne pas leur payer de salaires, leur interdire de quitter le pays et même leur maison sous prétexte que les travailleurs sont susceptibles de tenter de « s’enfuir ». Ils peuvent les tuer et les violer en toute impunité.

La propriété d’esclaves noirs est un cas particulier.  La justification religieuse de cet esclavage en Islam s’enracine dans l’interprétation biblique selon laquelle les Africains seraient les descendants de Ham qui a commis un impardonnable méfait contre son père Noë et qui seraient par conséquent, destinés à être les esclaves des descendants de Shem, c’est-à-dire ici, les Arabes. Aussi les Noirs dont les ancêtres ont été ramenés d’Afrique par les Arabes vers la zone de Basra (Bassorah) dans les premiers temps de l’Islam, demeurent des esclaves des Cheikhs arabes jusqu’à aujourd’hui. On les appelle « Abd » (« esclaves »).

En Mauritanie, l’esclavage a été aboli au début des années 1980. Mais, jusqu’à aujourd’hui, la population toute entière du pays est en réalité divisée en deux castes : les Maures à peau claire – les détenteurs d’esclaves, « Les Berbères Noirs » ou « Haratin », leurs sujets et les « Nègres » -la classe la plus basse.

L’esclavage est héréditaire et les enfants d’esclaves demeurent la propriété de leurs propriétaires. Le nombre d’esclaves dans le pays est estimé à plus de 600.000 hommes, femmes et enfants soit 20% de la population, bien qu’officiellement l’usage du mot « esclave » est interdit dans les médias. Dans de nombreux cas, les esclaves disposent de certains espaces dans la maison, à la façon des animaux.

L’esclavage prospère au Soudan. Des villages entiers ont été démoli ; des hommes, des femmes et des enfants sont enchaînés en esclavage. Dans les années 1990, le nombre de descendants d’esclaves de Ham était estimé se situer entre 100.000 et 200.000.

Au Niger, l’esclavage fait partie des normes. On y trouve environ un million d’esclaves.

Daesh et sa branche en Libye et au Nigéria ont officiellement ranimé l’institution de l’esclavage dans ses formes les plus haineuses e’t barbares, mais l’esclavage est profondément enraciné dans la conscience collective du monde moyen-oriental et toujours pratiqué activement.

Le Sacrifice Humain

La mort sur le champ de bataille (au champ d’honneur) était considéré comme un honneur pour le guerrier des temps passés, parce qu’une telle mort ouvrait les portes du Ciel. La version précoce du « Jihad » n’était pas une exception : les hommes combattaient contre des rivaux équivalents dans un combat à armes égales, mais en aucun cas contre des enfants, des femmes et des hommes désarmés.

Le concept actuel de « Jihad » est bien plus proche du sacrifice humain, primitif. L’objectif des cultes antiques de sacrifice consistait à apaiser la colère et la soif de sang de la Déité. Pour la cérémonie sacramentelle, ils sélectionnaient, de façon prédominante, des enfants, des adolescents, et des jeunes filles de leur propre tribu, comme correspondant à l’incarnation de la naïveté, de l’innocence et de la virginité. Le sacrifice représentait un spectacle théâtral horrifiant. Les victimes sacrales qui se sacrifiaient volontairement allaient au paradis où elles pouvaient jouir de plaisirs charnels. Les gens des autres tribus étaient exécutés comme du bétail.

On peut voir le même mythologème [plus petit dénominateur commun d’un même mythe] à l’oeuvre dans l’actuelle interprétation de « Jihad ». Pour incarner le rôle des « martyrs », ils choisissent des enfants, des adolescents qui sont trop jeunes pour réaliser qu’ils vont au massacre. Ils croient qu’en se tuant eux-mêmes, ils fraient leur voie vers le paradis – pour s’y unir à 72 vierges (à quoi de mieux pouvait donc bien rêver un homme de l’âge de Bronze?). De l’autre côté, massacrer ceux d’une autre tribu choisis au hasard, et tout particulièrement des femmes et des enfants, sera un délice pour la déité cruelle et fera trembler d’effroi ses ennemis.

En définitive, la terreur des « Shahids » est de nature publique, théâtrale et finalement horrible – avec des corps déchiquetés, des membres coupés et du sang qui coule à flot. C’est un mystère typiquement meurtrier pratiqué par des peuples antiques – de Mésopotamie, de Syrie et de Phénicie jusqu’en Amérique du Sud.

Les femmes comme proie, Concubine

A l’âge de Bronze, la place de la femme dans la hiérarchie sociale était juste un peu plus élevé que celle du bétail. Elle avait trois rôles standard : en tant que proie – quand on parle des femmes d’une autre tribu ; esclave, pour son propriétaire et machine à procréer ; et, finalement, un statut de « monnaie » – pour conclure un marchandage, des alliances dynastiques et tribales. Sa liberté de choix était identique à la liberté de choix d’un cheval ou d’un chameau.

L’Islam a renvoyé la femme à « sa » place (de cette période de l’humanité) dans la hiérarchie sociale. Au Moyen-Orient, elle ne peut pas quitter la maison sans être accompagnée par son mari, son père ou son frère ; elle ne peut pas travailler ; elle perd son fils en cas de divorce ; elle est battue ou humiliée si elle ne satisfait pas son mari.

L’Islam légalise le fait de battre sa femme et conseille comment la maintenir sous un joug serré à la façon du cheval.

Le Cheikh Muhammad Kamal Mustafa, auteur du livre : « La femme en Islam » affirmait qu’il « est interdit de la battre sur les parties sensibles de son corps, comme le visage, la poitrine, l’abdomen et la tête. On doit plutôt la battre sur les bras et les jambes ». 

Le Cheikh Youssouf Al-Qaradawi, l’inspirateur de l’UOIF et des Frères Musulmans, l’un des prédicateurs les plus influents dans l’Islam sunnite, dit : « Il lui est permis de la battre légèrement avec ses mains, en évitant le visage et d’autres parties sensibles. En aucun cas, on ne doit avoir recours à un bâton ni aucun autre instrument qui puisse causer de la douleur et des blessures ».

En février 2016, le Mufti de Gaza, Hassan Al-Laham, a prescrit : « Les coups sont une sorte de rappel que l’amour et l’amitié qu’Allah a ordonné, peut encore se retrouver entre nous (le couple) ». N’est-ce pas merveilleux? Et quelle ne fut pas la réaction des féministes? Ce fut l’organisation de la « Flottille de la Paix des Femmes », vers Gaza. 

Les mutilations génitales pratiquées sur les femmes privent ces femmes de leur sensualité et les transforment en machines primitives à procréer, en poupées insensibles.

Le moindre soupçon d’adultère conduit à leur meurtre en famille : ses membres peuvent répandre de l’acide sur elles, les défigurer ou les pousser sous un camion. Elles sont menacées du même sort si, par malheurs, elles étaient victimes d’un viol. Elles sont mariés par la décision de leur famille sans qu’on leur demande leur consentement.

Les tribus primitives considéraient les femmes des peuples conquis comme étant leur proie naturelle. Les femmes non-Musulmanes d’aujourd’hui partagent le même destin.

Longtemps avant Daesh, en 1948, les Arabes s’étaient fixés pour but de conquérir Israël, en rêvant de tuer les hommes et de violer les femmes. Au Liban, les Palestiniens ont violé les femmes chrétiennes et, de façon, déclenché la guerre civile. Les régimes laïcs ont restreint la convoitise sexuelle des Musulmans contre les femmes des « Infidèles ». Dès qu’ils ont été renversés, les femmes chrétiennes se sont transformées en objet de harcèlement sexuel.

Le 10 avril 2013, un imam salafiste, le Cheikh Yasir al-‘Ajlawni a prononcé une fatwa qui autorise le viol des femmes non-musulmanes en Syrie. En Egypte, en février 2013, Ahmad Mahmoud Abdullah, connu sous le nom d’“Abu Islam”, a justifié le viol des femmes autour du Square Tahrir du Caire. Le viol des filles de la communauté copte en Egypte est devenu monnaie courante sous le régime du Président des Frères Musulmans, Mohamed Morsi. Récemment, des Musulmans ont brûlé des maisons dans le Sud de l’Egypte et forcé une femme copte de 70 ans à marcher nue à travers les rues. 

Les femmes non-musulmanes sont des putains pour l’homme musulman, en particulier si elles marchent seules et portent des jupes courtes. : comme à Cologne, à Londres, à Stockholm ou n’importe où ailleurs.

Sexe et Pouvoir

Les peuples primitifs accordaient au phallus une valeur sacrée et considéraient l’acte e copulation comme une démonstration de la puissance et de l’autorité du mâle – en relation non seulement zavec la femme, mais aussi vis-à-vis d’un opposant vaincu.

Le symbolisme de la possession sexuelle est très prononcée parmi les peuples aborigènes, mais aussi, assez proches de nous, les singes. Konrad Lorenz décirvaient la scène suivante au zoo de Berlin :

Au Zoo de Berlin, j’ai observé une fois deux vieux mâles babouins Hamadryas, très forts s’agressant l’un l’autre et de façon sérieuse durant un moment.  Un moment plus tard, l’un des deux s’est enfuit, poursuivi par l’autre, qui l’a finalement chassé dans un coin. Mis dans l’incapacité de s’échapper, le perdant a trouvé refuge dans une posture de soumission, ce sur quoi le gagnant a tourné les talons en marchant à pas feutrés, dans une attitude  consistant à s’afficher. Là-dessus, le perdant lui a couru après et lui a présenté l’arrière-train de façon si persistante que le plus fort a fini par « reconnaître sa soumission ne lui montrant une expression d’ennui et en effectuant quelques mouvements mimés de copulation. Ce n’est qu’après cela que le soumis s’est montré finalement satisfait que sa rébellion lui ait été pardonnée. 

Des rudiments de cette culture subsistent dans les sociétés marginales, par exemple, en prison.

Au Moyen-Orient, l’acte sexuel comme personification de pouvoir sur un rival vaincu est devenu la norme. Lawrence d’Arabie a été la victime d’une telle tradition barbare. Les dissidents iraniens, Chris Stevens (l’Ambassadeur des Etats-Unis à Benghazi) et Kadhafi ont même connu des sorts plus affreux : ils ont été violés et tués. Cette barbarie nous ramène à des temps que l’humanité n’a pas connus depuis l’apparition des grandes religions.

Pédophilie et autres Perversions sexuelles

Ce phénomène dégoûtant a été inhérent à tous les peuples et à toutes les époques, mais il n’y a que l’Islam qui l’ait jamais légalisée. Des actes qui étaient considérés comme honteux (abomination) dans le Judaïsme, le Christianisme et dans la culture laïque, est devenue la norme au Moyen-Orient. Raymond Ibrahim cite le Dr. Saleh bin Fawzan, un prédicateur prédominant et membre du plus haut Conseil religieux en Arabie Saoudite. 

Bin Fawzan vient juste de prononcer une fatwa affirmant qu’il n’y a pas d’âge minimal pour le mariage et que les filles peuvent être mariées « même si elles sont encore au berceau ».

Fawzan insiste sur le fait qu’il n’y a nulle part dans la Chari’a où on pose un âge limite pour marier les filles : comme d’innombrables prédicateurs et légistes musulmans avant lui, il se fonde sur Coran 65:4, qui discute du mariage des femmes qui n’ont pas encore eu leurs premières règles ( sont pré-pubères) et du fait que Mahomet, l’exemple parfait de l’Islam, s’est marié avec Aïcha alors qu’elle avait 6 ans, et qu’il a « consommé » leur mariage – ou en parler moderne, l’a violée – quand elle en avait 9. 

Ibrahim donne des exemples de jeunes filles qui ont trouvé la mort comme seule conséquence de tels « mariages d’enfants », tout en soulignant que des « autorités islamiques dominantes » comme l’horrible Yusuf Al Qaradawi, ont pris de jeunes filles comme épouses.

Selon le Centre International de Recherche sur le sort des Femmes, en 2005, il y avait 51 millions de mariages d’enfants et presque tous avaient lieu dans les pays musulmans.

L’Ayatollah Khomeiny écrivait : « Un homme peut avoir du plaisir sexuel d’un enfant aussi jeune qu’un bébé ».

De la bestialité? Pourquoi pas? L’Ayatollah Khomeiny, toujours : « Un homme peut avoir des relations sexuelles avec des animaux, tels que le mouton, les vaches, les chameaux et ainsi de suite. Cependant, il devrait tuer l’animal après avoir eu son orgasme. Il ne devrait pas vendre la viande aux gens de son village, cependant, vendre la viande au village d’à-côté devrait convenir » (d’après le livre de Khomeiny : Tahrir al-Vasyleh, quatrième volume, Darol Elm, Gom, Iran, 1990).

En mai 2010, à Gaza, 450 hommes du Hamas se sont mariés à des fils qui avaient moins de 10 ans. Féministes? Oh, oui, on oubliait – elles sont trop occupées à préparer la ‘Flottille de la paix » vers Gaza.

Les gens mutilés et malades mentaux

Les animaux ressentent une haine irrationnelle à toute anomalie dans leur propre espèce. Durant mon enfance, j’ai vu une volée de moineaux qui attaquait un oiseau malade – ils essayaient de le picorer à mort. Le misérable moineau a réussi à s’échapper en s’envolant vers la fenêtre d’une maison.

La Civilisation s’est élevée au-dessus de ce préjugé écœurant, mais les malheureux qui sont nés estropiés au Moyen-Orient n’ont aucun endroit pour s’échapper.

Il s’agit d’un « trou noir » du monde islamique et ce que nous savons n’est que la partie visible de l’iceberg. En décembre dernier, l’agence palestinienne Maan a rédigé un article disant qu’au sud d’Hébron, on a trouvé un homme malade mental qui avait passé 25 ans attaché à la chaîne d’une bergerie. Sa famille l’avait enchaîné quand il avait dix ans et il mangeait en même temps que les moutons et les poulets. En février 2016, Maan écrivait à propos d’une autre personne handicapée mentale de Bethléem. Elle était menottée, enchaînée à un cabanon sans ventilation et sans chauffage et il était alimenté dans une écuelle comme un animal.

La raison d’une telle attitude réside dans une peur primordiale. Selon les croyances musulmanes, une personne malade mentale est sous l’emprise de djinns et possédée par le démon.

Laissons de côté les homosexuels – c’est un lieu commun. Ils sont pendus à des réverbères, comme en Iran et jetés du haut des toits des immeubles. la Communauté gay, « Docteurs sans Frontières », les « Chrétiens pour les Droits de l’homme »? Bien sûr, ils sont fovalisés sur la lutte contre le blocus de Gaza!

Comme les cultures primitives, l’Islam du Moyen-Orient rejette toute manifestzation de civilisation, même s’il s’agit d’une civilisation éteinte.

C’est la seule culture qui combat contre des antiquités : les tempes bouddhistes, en Afghanistan, Palmyre, les sanctuaires touaregs. Il détruit tout ce qui appartient à d’autres religions, qu’elles soient Yazidie, Chrétienne, Zoroastrienne et/ou Baha’is.

Les Musulmans vivent dans une atmosphère permanente de paranoia, ils justifient leurs propres troubles comportementaux par des théories de la conspiration. Ils croient en des « Requins du Mossad », comme l’exprimait le gouverneur du Sud Sinaï, Mohammad Abdul Fadhil Shousha ; à des « sangliers sauvages israéliens » qui détruisent les champs agricoles en Judée-Samarie/Cisjordanie, comme l’a prétendu le Président Mahmoud Abbas ; « dans des hyènes sauvages israéliennes » qui auraient été libérées par les résidents juifs des implantations afin d’effrayer les Palestiniens ; « dans des rats surnaturels », comme l’a publié en juillet 2008, l’agence de presse palestinienne officielle Wafa, afin de provoquer la panique à l’Est de Jérusalem. 

« Les Juifs ont les plus grands pouvoirs de sorcellerie et ils utilisent cet outil, prétendait Mehdi Taeb, un ami du Guide Suprême iranien Ali Khamenei et le dirigeant du think tank Ammar Base appartenant à Khamenei.

Ils sont certains que Daesh est la conséquence d’une conspiration de la CIA et du Mossad, que Coca-Cola et Pepsi contiennent du porc et de l’alcool à seule fin d’empoisonner les Musulmans.

Connaissez-vous la raison des cataclysmes naturels? Mallam Abass Mahmud, imam musulman au Ghana vous l’explique :  » Allah se fâche quand des hommes s’engagent dans des relations sexuelles et une telle relation dégoûtante provoque des tremblements de terre ». 

Comme dans les cultures primitives, on ne relève pas une once d’auto-critique. En Inde, en Chine, dans les pays asiatiques et chrétiens d’Afrique, on a oublié le colonialisme, même s’ils ont traversé des tas d’expérience de griefs et d’humiliation. Le Moyen-Orient n’a été un territoire sous tutelle mandataire pendant seulement 20 ans, dans la période entre les deux guerres mondiales, mais les Arabes continuent d’accuser l’Occident de tous leurs malheurs. La civilisation qui était grande jusqu’à un certain point, a désormais glissé vers une culture primaire, mais apparemment ce n’est pas encore le point le plus bas de sa chute.

En mai 2013, le monde a été témoin de quelque chose d’horrible : Abu Sakkar, le dirigeant du groupe « Al-Farooq » ( qui fait aujourd’hui partie de « Jabhat al Nusra ») a arrach » le coeur d’un soldat d’Assad mort et a mangé de la chair humaine. Ses camarades l’ont encouragés en criant « Allah W’Akbar ». Sauf que ce n’était pas un cas isolé.

En novembre 2013, Theodore Shoebat a écrit, en citant les sources d’actualité arabes Zaman al-Wasal et Orient News Television, que la maladie Kuru, provoquée par le cannibalisme s’était uniquement propagée en Syrie. Selon l’Université d’Etat du Michigan, en 2014 seulement, il y a eu 8 à 10 cas de Kuru enregistrés en Syrie : « Kurur a resurgi au sein de la communauté musulmane récemment, parmi les rebelles syriens, qui ont, d’après ce qu’on dit, pris l’habitude de manger le coeur de leurs victimes. Deux de ces rebelles ont ensuite été hospitalisés et transférés en Allemagne pour être soignés de cette maladie, ce qui signifie que cette maladie est bien réapparue en Syrie ». 

Il s’agit de cannibalisme rituel, une terrible relique réémergeant des profondeurs du monde primitif. Rien à voir avec cette aimable diversité culturelle!

***

L’involution (la régression) de l’Islam n’est qu’un côté de la pièce de monnaie. L’autre,qui est moins horrible, est la dégradation spirituelle de l ‘Occident qui accueille ce monde primitif, prédateur avec des nounours en peluche, des chansons sur la paix et des fleurs.

Par Alexander Maistrovoy

  le 2 

Alexander Maistrovoy est l’auteur de : “Agony of Hercules or a Farewell to Democracy (Notes of a Stranger”), publié récemment par Xlibris, disponible sur Amazon et Barnes & Noble).

Cannibalism, sexual perversions, animal abuse: The descent of Middle Eastern Islam into a primeval abyss

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le mariage des petites filles à Gaza dans la vidéo « mariage pédophile » est un hoax, voir sur internet. En réalité les petites filles étaient des demoiselles d’honneur et les fiancées, voilées, se tenaient à un autre endroit.
Mais il est vrai que les mariages précoces existent à Gaza et dans le monde arabe. c’est surtout au Yemen que des petites filles sont mariées de force.

Nicole

Depuis quand des petites filles peuvent tenir la main d’un homme en public. Rêveur.

pauvresidiots

Ils ne connaitront jamais la paix ces arabes. Pour tout le mal qu ils font , ils en subissent les conséquence . C est leur karma. La violence sr retourne contre eux. Ils sont tellement betes et mechants.

aval31

Voilà pourquoi je me méfie des juifs « orientaux » et aussi d’Israël.
Tout ce qui touche cette région est contaminé. La France en est déjà presque morte.

André

Mais non voyons ! Comme les « antisionistes » nous le racontent, ce qui est vraiment barbare aujourd’hui c’est un drone israélien qui lâche un missile sur une cible bien choisie pour éviter de tuer d’autres personnes. Pensez-donc, il n’y a pas de pilote dans un drone, quelle barbarie !

Mais pas de problème pour ceux qui s’acharnent sur un mort pour le mutiler (spécialité algérienne bien connue des français…), pour le trainer dans les rues accroché à un véhicule ou encore pour exhiber sa tête décapitée sur une pique et lui dévorer le cœur. Ça, c’est de bonne guerre…