Procès de Georges Bensoussan : « Leur objectif est d’interdire de penser »

http://akadem.org/public/pub/Proces-Bensoussan.pdf

Pour aider le Comité de soutien à Georges Bensoussan : 

https://www.leetchi.com/c/solidarite-avec-historien-georges-bensoussan

L’historien Georges Bensoussan est responsable éditorial du Mémorial de la Shoah. – BALTEL/SIPA

De quoi le procès fait à Georges Bensoussan est-il le nom ? L’expression, usée jusqu’à la corde, est pourtant la seule qui convienne. L’audience du 25 janvier 2017 devant la 17ème chambre correctionnelle a duré douze heures et ce fut long comme un jour injuste. Un jour dont l’on retiendra la date, tristement, à l’heure future où nos enfants tenteront de comprendre quels faits, obscurs ou spectaculaires, quelles compromissions, silencieuses ou tonitruantes, nous auront conduits à cette catastrophe : l’agonie de la lucidité et la criminalisation du courage dans notre pays.

L’historien, responsable éditorial du mémorial de la Shoah, auteur de nombreux ouvrages, était, rappelons-le, poursuivi par le Parquet  « pour provocation  à la haine raciale » sur dénonciation du Collectif contre l’islamophobie en France. En cause : des propos tenus lors de l’émission Répliques, sur France Culture, où il évoquait l’antisémitisme dans les familles arabes . Ce dernier s’était prétendu diffamé puis avait retiré sa plainte. Difficile en effet pour Laacher de nier avoir dit devant les caméras : « Cet antisémitisme, il est déjà déposé dans l’espace domestique. Il est quasi naturellement déposé  sur la langue, déposé dans la langue… Des parents à leurs enfants, quand ils veulent les réprimander, il suffit de les traiter de juifs. Bon. Mais ça, toutes les familles arabes le savent.  C’est une hypocrisie monumentale de ne pas voir que cet antisémitisme, il est d’abord domestique ». Georges Bensoussan, en s’y référant, avait usé métaphoriquement de l’expression « l’antisémitisme, on le tète avec le lait de sa mère ».

CE « DEUX POIDS, DEUX MESURES » PLANAIT DANS L’AIR RARÉFIÉ DE LA 17E CHAMBRE DU PALAIS DE JUSTICE DE PARIS.Ce sein, qu’on ne saurait voir, a déclenché toutes les fureurs. Apparemment, les choses sont bien différentes quand l’antisémitisme arabe est dénoncé par un sociologue issu de cette culture et quand la citation est reprise par un historien d’origine juive  comme l’a souligné douloureusement Georges Bensoussan dans une de ses interventions. Dans le premier cas, on refuse d’écouter Laacher, puis on le somme officieusement de revenir sur ses propos. Dans le second cas, Bensoussan est trainé devant les tribunaux par la justice de son pays puisque le Parquet avait choisi d’attaquer. Ce « deux poids, deux mesures » planait dans l’air raréfié de la 17èmechambre du Palais de Justice de Paris.

Un étrange témoin

Le CCIF, représenté par Lila Charef, étroitement voilée, était appuyé par une pléiade d’associations antiracistes, Licra, Mrap, SOS racisme, la Ligue des droits de l’Homme. La Licra avait trouvé un témoin à charge surprenant en la personne de Mohamed Sifaoui. Ce dernier, qui a si souvent écrit dans nos colonnes, se retrouvait ainsi sur le même banc que le CCIF dont on pensait que le journaliste, menacé de mort par les islamistes, ne partageait pas vraiment les options. Sifaoui écrivait en effet du CCIF, le 6 juillet 2015, que cette « prétendue association antiraciste avait beaucoup de mal à condamner l’antisémitisme ». De son côté, en juin 2015, le CCIF traitait Sifaoui de « chantre de la haine ». Comment ces adversaires irréductibles se sont-ils ligués contre Georges Bensoussan ? Sans doute un de ces retournements de l’histoire qui n’augurent rien de bon pour le respect des faits. « Le déni de réalité est un cancer », écrit Elisabeth Badinter dans sa préface à l’ouvrage collectif, La France soumise coordonné par l’historien (Albin Michel)

Nous y voilà, effectivement. Georges Bensoussan, sommé de s’expliquer sur ses propos mais aussi sur ses travaux, rappelle qu’il travaille depuis un quart de siècle sur les mécanismes conduisant à la haine de l’autre. Il s’est penché, notamment, sur la condition juive en pays d’Islam. Il cite l’expression, si proche de la sienne à Répliques, utilisée en 1965 dans la revue les Temps modernes par l’auteur marocain Saïd Ghallab. Sous le titre Les juifs vont en enfer, Ghallab écrivait alors : « ... la pire insulte qu’un Marocain puisse faire à un autre, c’est de le traiter de juif, c’est avec ce lait haineux que nous avons grandi… ». Plus de cinquante ans après, en France, toutes les enquêtes réalisées sur l’antisémitisme , comme les témoignages multiples recueillis par les enseignants depuis la parution des Territoires perdus de la République attestent une emprise grandissante des préjugés chez les jeunes de culture musulmane. Si l’on y ajoute les fameux 28% de partisans de la suprématie de la charia sur les lois françaises dénombrés dans la dernière enquête de l (enquête dirigée par Hakim el Karoui), il y a de quoi s’inquiéter.

« EST-CE MOI QUI DOIS ME TROUVER DEVANT CE TRIBUNAL AUJOURD’HUI ? »Sur la toile de fond des attentats, des crimes de Mohamed Merah à ceux de l’Hypercacher (sans oublier l’enlèvement et l’assassinat du jeune Ilan Halimi, en 2004, dont le caractère antisémite avait été honteusement nié) les juifs ont peur. Les élèves juifs fuient les écoles et les lycées publics des quartiers dits « sensibles ». Bensoussan, qui se définit lui-même comme « un enfant de l’école publique », souligne qu’ils n’en sont pas partis en masse par choix mais pour d’impérieuses raisons de sécurité. Les écoles juives dans lesquelles certains ont été inscrits ne sont-elles pas gardées par l’armée ? Ce qui arrache ce cri à l’historien : « Est-ce moi qui dois me trouver devant ce tribunal aujourd’hui ? N’est-ce pas l’antisémitisme qui nous a conduits à la situation actuelle qui devrait être jugé ? »

« Une dérive judiciaire »

Cette inversion du réel s’inscrit au cœur du témoignage d’Alain Finkielkraut. « Les associations antiracistes ne luttent plus contre le racisme, s’insurge l’académicien, leur objectif est d’interdire de penser, il s’agit de soustraire la réalité à l’investigation et les musulmans à la critique. Je suis étonné d’être ici : car la question n’est pas de savoir si Georges Bensoussan s’est rendu coupable : la question, c’est de savoir s’il dit vrai ! » Et Finkielkraut poursuit :

« Si le tribunal cède à cette intimidation, ce sera à la fois une catastrophe intellectuelle et une catastrophe morale… Si on refuse de voir la réalité et si on incrimine ceux qui s’efforcent de la penser, on n’a plus aucune chance d’échapper à la division et à la montée de la haine ! »

En dénonçant « une dérive judiciaire », le philosophe cite des témoignages sur les « insultes antisémites et antifrançaises ». Du coup, l’avocat du Collectif contre l’islamophobie en France le menace de « réserver » ses propos, allusion à une procédure judiciaire dont il pourrait relever. « Ah, je suis donc moi aussi sous surveillance ! » s’exclame Finkielkraut.

Cet échange donne le ton d’un procès qui, d’heure en heure, se fait plus tendu. Ainsi se vérifie la phrase de Jean-Paul Sartre : « L’antisémitisme n’est pas une pensée, c’est une passion. »

La déposition de Mohamed Sifaoui, extrêmement violente à l’encontre de Georges Bensoussan, alourdit encore l’atmosphère. D’un côté, le journaliste si engagé contre l’islamisme reconnaît qu’au cours de ses reportages dans le monde arabe, il a « rencontré partout de l’antisémitisme, personne ne nie non plus qu’il y a un antisémitisme endémique dans la communauté musulmane en France ». Où est donc la différence de propos qui l’amène à fustiger Bensoussan ? C’est que, de l’autre côté, Sifaoui s’indigne : « Bensoussan détricote tous les moments positifs entre juifs et arabes. N’est-il pas en train d’écrire une histoire qui peut servir à des milieux douteux ? C’est un destructeur des ponts entre juifs et arabes. » En s’attardant sur la fameuse métaphore de « l’antisémitisme tété au sein », il évoque même « un biberon empli d’un lait fabriqué en Israël ! ». Une heure plus tard, l’avocat du CCIF lancera à l’historien : « Les juifs ne tuent pas d’Arabes ? Et en Palestine ? » L’inversion des faits ne suffit donc pas ! Sifaoui comme le CCIF, adversaires d’hier mais peut-être pas de demain, se coalisent pour convoquer l’ombre du conflit israélo-palestinien sous les plafonds bleu-or de la 17ème chambre.

« On ne peut pas parler de racisme quand on évoque la transmission culturelle »

Le témoignage de la philosophe Elisabeth de Fontenay, toujours vigilante et précise, allège un peu l’ambiance. Elle aussi « accepte mal qu’un chercheur qui fait état d’études de terrain soit poursuivi ». Et souligne à l’intention des accusateurs de l’historien : « On ne peut pas parler de racisme quand on évoque la transmission culturelle ».

En face, la sociologue Nacira Guénif, témoin cité par l’accusation, se fendra d’une longue analyse, véritable morceau d’anthologie, qui consiste à prendre le contre-pied de la réalité. A la présidente du tribunal, Fabienne Siredey-Garnier, qui lui demande de réagir aux propos de Smain Laacher, elle répond par une esquive et entreprend de décortiquer l’insulte arabe « espèce de juif ! » Des « explications » fournies par l’éminente universitaire, il ressort qu’en disant l’insulte « on ne pense pas ce qu’on veut dire », qu’il s’agit « d’une expression figée passée dans le langage courant ». Bref une insulte antisémite en arabe n’est pas… antisémite.

UNE INSULTE ANTISÉMITE EN ARABE NE SERAIT PAS… ANTISÉMITE.

Suivra un dernier et obscur témoignage de Michèle Sibony, enseignante retraitée, par ailleurs animatrice d’une « Union juive française pour la paix » qui, en se drapant dans la cape de la bonne moralité identitaire, s’enlise dans la phraséologie la plus ossifiée pour flatter l’islamisme. Devant le tribunal, elle va manier l’injure en accusant Bensoussan de « discours digne d’un Drumont » ( Edouard Drumont, antidreyfusard, était un célèbre idéologue antisémite du début du XXème siècle).  Nous sommes toujours à des années-nuits du réel et de la clarté intellectuelle.

« Pour la première fois de ma vie j’ai eu la tentation de l’exil »

Il y aura heureusement l’intervention d’Yves Ternon, historien qui salue « Georges Bensoussan, le lanceur d’alerte », puis la lettre de soutien adressée d’Algérie par le grand écrivain Boualem Sansal, et lue par la présidente :

« Les propos reprochés ne sont en rien un acte d’islamophobie… (…) J’ai moi-même dénoncé cette culture de la haine inculquée dans les familles arabes à leurs enfants, haine contre le juif, le chrétien, l’homosexuel… »

Boualem Sansal ose ensuite écrire : « Dire que l’antisémitisme relève de la culture, c’est simplement répéter ce qui est écrit dans le Coran et enseigné à la mosquée ».

Suivront les plaidoiries des associations, aussi creuses que leurs accusations, puis celle, incisive et brillante, de Me Michel Laval, avocat de Georges Bensoussan. Le réquisitoire de la Procureure sera à l’image du procès, intégralement idéologique.

« Ce soir, Madame la présidente, concluera Georges Bensoussan, dans le silence de la nuit qui s’est abattue sur le Palais de justice, pour la première fois de ma vie j’ai eu la tentation de l’exil. »

C’était un jour dans la vie de la justice française. Jugement le 7 mars.

Martine Gozlan


G. Bensoussan : Finkielkraut démissionne de la Licra inquisitoriale. Vidéo

Dans l’Esprit de l’escalier, animée par Elisabeth Lévy sur RCJ, le philosophe annonce son départ du comité d’honneur de la Licra

Alain Finkielkraut sur le procès de Georges… par causeur« >
Alain Finkielkraut sur le procès de Georges… par causeur

Dans l’Esprit d’escalier, une émission animée par Elisabeth Lévy sur RCJ, le philosophe annonce que puisque la Licra a « opté pour l’inquisition » lui qui fait partie « partie du comité d’honneur de la Licra, cette association qui s’est déshonorée » il a envoyé sa « lettre de démission dès le lendemain du procès ».

La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.

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constantine

Aujourd’hui en France, il n’est pas bon de dire la vérité, c’est la pensée unique du CCIF, et de la gauche pro palestinienne et antisémite qui domine, et il veulent , par tous les moyens, et ils ne s’en privent pas, museler ceux qui disent la VERITE, c’est tout de même incroyable, au pays des droits de l’homme et du citoyen ! Où est la liberté de penser, surtout quand il s’agit de dire « la vérité ». Quant à Mohammed Sifoaoui, je suis étonné qu’il retourne sa veste alors qu’à la télé, il apparaissait comme sensé et crédible ; eh bien non, il se déshonore, et je n’aurai plus le même regard sur lui, il est vrai que le loup peut se transformer en brebis, en réalité il est fidèle à ses frères musulmans. Quant à George Benssoussan, je le soutiens, car sa démarche etait honnête et franche, et de plus il fait le constat d’une France qui implose à cause d’un aveuglement politique qui corrompt nos ministres et leurs accolytes, vivement que Fillon élu. reprenne les rennes France.

Nadia Lamm

Martine Gozlan, excellente comme à son habitude, nous livre un article parfaitement documenté; il n’y a que la vérité qui blesse ! Je suggère à tous d’ouvrir le magnifique entretien du poète syrien Adonis avec la psychanalyste et Maître de conférence à l’universite Paris Diderot Houria Abdelouahed : Violence et islam (Seuil, 2015); il y analyse, faits historiques et textes de la tradition à l’appui, un islam (et non un islamisme) qui a instauré la cruauté, dès l’origine, comme beau modèle et psalmodie la recommandation de la violence la plus extrême en versets « poétiques » qui font froid dans le dos! C’est cette vérité qu’il s’agit de refouler encore et encore en présentant ce refoulement comme anti-racisme et nombreux sont ceux qui, cédant à la peur, ont vite fait d’adopter ce refoulement collectif paré des apparences de la morale.

Je salue les derniers mohicans qui persistent à dire – non par haine mais pas amour de l’autre – la vérité dure à entendre mais salutaire : Georges Bensoussan, Alain Finkielkraut, Boualem Sansal, Adonis, Chadhortt Djavann, Zineb El Rhazoui, survivante de Charlie (Détruire le fascisme islamique, éd. Ring, 2016). Ils ouvrent un sillon d’espérance pour l’humanité à leurs risques et périls mais en hommage à l’Homme et à la Culture. Ce combat est gagné d’avance et ceux qui aujourd’hui veulent le saper seront la honte future d’une humanité enfin unie et débarrassée de ses affres infantiles et obscurantistes.

Lucchini Patrice

Je n’ai pas encore lu le livre de G. Bensoussan mais je l’ai acheté. Le geste de Finkielkraut vis à vis de la LICRA, officine qui dans ce procès rejoint l’indignité du MRAP ou de la prétendue Ligue des droits de l’homme, est cohérent avec son engagement et me confirme dans mon respect et admiration de l’homme. La France est confrontée à une offensive islamique sans équivalent, sa justice est souvent aux ordres de futurs dhimmis, son éducation se courbe devant l’obscurantisme et le pire est à craindre. Deux questions de civilisation sont vitales en France: l’égalité homme femme et la place des Français juifs. On peut légitimement être inquiet de l’avenir. Un sursaut est indispensable.

HUBELE-AMAR

BRAVO Sydeco !!! Mon père disait aussi la même chose que vous citez !!!!!!

ELa

Voici suite à la lecture de ce reportage, je me permets d intervenir.
Je suis une fidèle lectrice de jforum depuis plus d’un an et vous remercie de votre travail.
Mon intervention est pour soutenir les écrits de M. Georges Benssoussan, je suis algérienne de par mes parents , née en France et je souhaite confirmer les ecrits ci dessus, oui il est vrai que dès notre tendre enfance on nous enseigne la haine des juifs, des chrétiens. Il est bien triste de le dire mais c’est une vérité.
Je remercie Hashem de m avoir donné un coeur nouveau pour le peuple d Israël, oui je suis ce que je suis par mes origines mais mon amour est pour Israël, pour le peuple d Israël !

sofia

Je suis né et j’ ai vécu jusqu’ à l’ âge de vingt deux ans en Algérie (départ pour la France novembre 1961), à Constantine, plus précisément à la cité Gaillard où se côtoyaient Chrétiens, Juifs et Musulmans. J’ ai toujours entendu les mères Musulmanes traiter leurs enfants de « juifs » lorsqu’ ils faisaient des bêtises. On dit dans les familles musulmanes: « Mange avec les Juifs et dort avec les Chrétiens » POURQUOI?…hé bien les Juifs sentent mauvais mais ne mangent pas de cochon on peut manger avec eux, les Chrétiens mangent du cochon, il ne faut pas manger avec eux, ils ne sentent pas mauvais on peut dormir avec eux. Nous avions des bains maures, il y avait des jours réservés aux femmes et des jours réservés aux hommes (parfaitement compréhensible), il y avait aussi des jours réservés aux Musulmans et des jours réservés aux Juifs, POURQUOI?…Pour la même raison les Juifs sentent mauvais. Interrogez les Constantinois, ils vous diront la même chose. Si les Juifs et les Chrétiens sont racistes, les Musulmans le sont encore davantage et le pompon revient à leur dieu et leur prophète lisez le coran, les hadiths et la sunna pour vous en convaincre.

HUBELE-AMAR

BRAVO à G. Bensoussan !!! Je suis Séfarade et je peux témoigner de l’antisémitisme musulman que nous avons subi au Maroc !!!!!!! Qu’on arrête de se voiler la face !!! Qu’est-ce qui existe dans les banlieues ? Et Israël est un prétexte ! L’antisémitisme a tjs existé dans les pays musulmans (Egypte, Iraq, Iran, Maroc, Algérie, Tunisie etc …)
Donc, qu’on ne vienne pas nous « emmerder » avec ça !!!!

adit

Analyse qui met en évidence un enjeu fondamental: la liberté d’exprimer des analyses! Le constat suivant déplaira: « tout musulman qui veut respecter l’intégralité du Coran porte en lui une graine endormie d’état islamique ». Il y a tout ce qu’il faut dans le Coran, sourates et hadiths, et dans les prêches de mosquées pour réveiller cette graine mortifère pour tous. Mais le Coran porte en lui le suicide de l’Islam, celui des Lumières….

DANY83270

l’antisémitisme musulman est un fait indéniable et il existe même sur « YOUTUBE » des images et des vidéos d’archives qui le prouvent; mais certains tribunaux refusent le
reconnaître parce que des juges vivent dans le déni de réalité en jouant sur les mots; de ce fait notre ami Georges BENSSOUSSAN est victime d’un appareil judiciaire qui se comporte avec lui exactement comme au temps de Union soviétique de Staline et de Brejnev et il serait temps que cela cesse sinon la France deviendra le cancer du monde civilisé.

Ephraïm

Monsieur Bensoussan , vous ne pouvez plus rien espérer de la France où vous êtes en exil physique et intellectuel . .Je me permets de vous suggérer de quitter cet exil et de venir nous rejoindre en Israël le plus vite possible .

Paul

La lie-cra a encore sacrifier les valeurs de la République. Les antisémites jubilent, les antisionistes également. N’oublions pas cette trahison de la lie-cra

Patricia

L’interdiction de penser autrement que les dictateurs mondialistes est de de plus en plus forte, l’humanité toute entière devra se battre pour garder sa liberté et reconquérir le terrain perdu. J’ai bien peur que se battre devant des tribunaux ou les débats d’idées, manifestations pacifiques ou pétitions pour se défendre se suffisent pas et qu’à terme ça se terminera dans la violence. Tristesse….

blum

RADOI J 16 H:  » A. FINKIELKRAUT vient de démissionner du comité d’honneur de la Licra. »
Je m’en réjouis pour lui, et pour G. Bensoussan.
Il y a longtemps que la Licra ne défend plus que les immigrés africains, de préférence, et nord-africains.
L’appui du CCIF , dans ce coup-monté contre le pauvre Bensoussan, lui sera fatal, tant elle s’est discréditée aux côtés de l’autre officine gauchiste: SOS racisme.

sydeco

Je me disait aussi que sifaoui tenait lors de ses interventions des propos cohérents et justes et voilà qu’il dévoile son véritable
Un proverbe dit je crois, méfie toi d’un musulman, 40 ans après sa mort il te trahira encore

blum

AInsi donc,Mohamed Sifaoui est un bel exemple de maîtise de la  » taquiah ». ( je dois ce terme à Bat Yé’or, dont j’ai lu  » Eurabia », il y a plus de dix ans.)
Pour le reste, je vous dirai qu’à l’occasion d’un colloque, il y a près de trois ans, je demandai à G. Bensoussan pourquoi il avait attendu 2002 pour écrire  » Les territoires perdus de la République », alors qu’il était sociologue, ( chercheur, payé pour TROUVER!), et que je voyais et VIVAIS la réalité qu’il y décrivait, ENFIN, depuis les années Mitterrand. Il eut l’air fâché, et ne me répondit pas.
Je me dis qu’il devait être de gauche. Seule explication à pareille lenteur d’esprit.

alexandra

Ce sont ces associations qui devraient plutôt être poursuivies pour procédures abusives.
G.B. ne dit que la vérité, qui s’étale partout quotidiennement.
Cette vérité ne dérange que ceux qui ne veulent pas se remettre en question ni déconstruire la vindicte anti-juive qui se trouve au coeur même du texte coranique.

meir

Excellent reportage.
clair, net et précis.
Kol Hakavod