Durban 2001: la conférence de la honte..
20e anniversaire de la Conférence de Durban
C’est le 22 septembre prochain que l’Onu organisera le vingtième anniversaire de la tristement célèbre conférence de Durban de 2021 (Afrique du Sud) qui devait être consacrée à « la lutte contre le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et l’intolérance ». Or cette conférence fut détournée de ses objectifs par une kyrielle de pays et ONG qui se livrèrent à un déballage immonde d’antisionisme et d’antisémitisme. L’une des « vedettes » de cette conférence avait été le président iranien de l’époque, Mahmoud Ahmadinejad, qui avait notamment juré de « rayer Israël de la carte ».
Un premier projet de résolution adopté lors de la conférence gouvernementale de Durban assimilait le sionisme au racisme, ce qui a conduit les États-Unis et Israël à se retirer de la conférence. Le projet final ne condamnait pas le sionisme comme raciste, mais le conflit israélo-palestinien est le seul répertorié spécifiquement dans la section sur les « victimes du racisme, de la discrimination raciale, de la xénophobie et de l’intolérance qui y est associée ».
La Hongrie prend la tête de l’UE en annonçant le boycott de la prochaine conférence de Durban
Israël, le Canada, l’Italie, l’Australie, l’Allemagne, les Pays-Bas, la Nouvelle-Zélande, la Pologne ont boycotté les conférences passées. En 2011, 14 pays ont boycotté le rassemblement
La Hongrie est devenue le premier pays de l’UE à annoncer qu’elle ne participera pas cette année à l’événement de l’ONU marquant le 20e anniversaire de la Conférence mondiale sur le racisme à Durban , qui comportait des messages antisémites.
« Le gouvernement hongrois a déclaré une politique de tolérance zéro contre l’antisémitisme et s’est pleinement engagé à garantir la sécurité du peuple juif que nous représentons également de manière constante dans les forums internationaux », a écrit le ministre hongrois des Affaires étrangères Peter Szijjártó dans une lettre à Mark Weitzman, directeur de affaires gouvernementales au Simon Wiesenthal Center de Los Angeles.
« Dans cet esprit, la Hongrie ne soutient pas le processus de Durban et a voté contre la résolution adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 31 décembre 2020 décidant la convocation d’une réunion de haut niveau à l’occasion du vingtième anniversaire de l’adoption de la Déclaration et programme d’action de Durban », a-t-il écrit.
La semaine dernière, le Royaume-Uni a déclaré qu’il se joignait aux États-Unis, au Canada et à l’Australie pour boycotter Durban IV en septembre, « à la suite de préoccupations historiques concernant l’antisémitisme ».
La France devrait également se retirer, a déclaré une source diplomatique le mois dernier, mais elle n’a pas encore publié de communiqué officiel. Un responsable du ministère allemand des Affaires étrangères a déclaré que Berlin n’avait pas encore pris de décision sur la question.
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Comme nous disions dans notre enfance, c’est celui qui dit qui l’est ! Quel groupe humain ne cesse de jurer de ne pas supporter un seul Juif en son territoire, et l’inscrit, sans ambiguïté, dans ce torchon qu’il prévoit être sa « constitution »?
Qui, explicitement, forme et éduque sa jeunesse à execrer son voisin, le chasser, et, pire, l’exterminer?
En quel territoire un passant, traversant une limite territoriale, serait certainement éventré, lynché, démembré etc…
En Ysraël..ou en Faklestine ? Quel pays dans le monde entier, voit-il promis ses nationaux, en 2021, à l’extermination ?
Comme dans le Talmud, analysant le nom Durban, on y lit « dur » et « ban »!
Rien de nouveau sous le soleil, le ban est pour nous autres, Juifs, et dur, on connaît.
Mais nous avons Un excellent ami, un Parent proche, notre Père, qui malgré nous turpitudes, vient toujours à notre secours…
Et puis, ce Durban nous renseignera sur qui sont nos vrais amis, et qui sont les faux. On saura leur renvoyer l’ascenseur, le Jour Redoutable.
Et l’Éternel saura rétribuer ceux qui auront assisté Ses enfants…