France (vidéo) : «On est là pour profiter de la France parce qu’elle nous a baisés en Algérie. C’est à nous de prendre notre revanche.»

819957Natacha Polony recevait Georges Bensoussan pour la publication de son livre «Une France soumise» dans son émission « Polonium » sur Paris Première le 08/02/2017. Ce qu’il donne comme témoignage fait froid dans le dos et démontre une nouvelle fois que la France se prépare des années très mais très difficiles…

le

Georges Bensoussan : des « Territoires perdus » à « Une France soumise »

L’historien Georges Bensoussan publie un nouvel ouvrage de témoignages alarmistes sur l’emprise de l’islam radical en France, quinze ans après « Les Territoires perdus de la République ».

 

Une France soumise (Albin Michel, 672 p., 24,90 euros)

Il y a quinze ans, un collectif d’enseignants de collèges et lycées en banlieue parisienne se réunissait pour témoigner de ce qu’ils constataient, notamment dans leur cours d’histoire disaient-ils, de la part de certains de leurs élèves musulmans. Une professeur affirmait avoir dû renoncer à projeter Nuit et brouillard, le film d’Alain Resnais sur les camps d’extermination, devant le tumulte de sa classe. Un autre rapportait que plusieurs lycéens avaient arboré sur leur cartable un « Vive Ben Laden » au lendemain du 11 septembre 2001. « Si je prononce le mot d’Israël, le brouhaha commence », racontait un troisième. Ces professeurs, qui se disaient « de gauche et laïcs », avouaient par ailleurs leur désarroi devant quelques jeunes filles qui arrivaient voilées en classe.

Rassemblés par Georges Bensoussan, docteur en histoire détaché par l’éducation nationale auprès du Mémorial de la Shoah, leurs témoignages furent publiés en septembre 2002 dans un livre intitulé Les Territoires perdus de la République (Mille et une nuits). Bientôt suivi en 2004 d’une nouvelle édition, nourrie de nouveaux témoignages.

A sa sortie, l’ouvrage ne suscita que peu de réactions dans les médias. Les témoignages publiés étaient trop souvent anonymes : sur les treize contributeurs, dix professeurs avaient préféré prendre un pseudonyme, dont Georges Bensoussan lui-même qui avait signé sous le nom d’Emmanuel Brenner. Une conseillère du président Chirac reçut pourtant certains de ses auteurs. Le 21 avril 2002, Jean-Marie Le Pen était arrivé au second tour de l’élection présidentielle et Jacques Chirac ne savait plus trop bien comment éviter « la déchirure du tissu social français », selon son expression d’alors. A la demande du chef de l’Etat, la commission Stasi, qui s’apprêtait à remettre son rapport sur la laïcité, auditionna à son tour les professeurs. Deux ans plus tard, la loi interdisant les signes religieux dans les écoles publiques fut votée. Les ventes du livre ne dépassèrent pas quelques dizaines de milliers d’exemplaires, mais son titre resta dans les esprits, comme pour marquer le basculement d’une époque.

370 pages de témoignages

Aujourd’hui, M. Bensoussan et une des professeurs des Territoires perdus, Barbara Lefebvre, publient à nouveau un gros livre de témoignages dont le titre annonce la couleur : Une France soumise (Albin Michel, 672 p., 24,90 euros).

Source : lemonde.fr

LE MONDE | | Par Raphaëlle Bacqué

La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.

S’abonner
Notification pour
guest

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

1 Commentaire
Le plus récent
Le plus ancien Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
madeleine

Comme dans les années 40, les dirigeants français sont des collabos et traîtres à leur patrie. Comme en 40, le peuple suit. 10% de celui-ci voit clair et voudrait agir. Mais pour ces nouveaux « résistants » se battre contre la colonisation islamiste se révèle particulièrement difficile. Entre un gouvernement complice des envahisseurs, l’apathie et la lâcheté de la majorité de la population et l’impossibilité de détenir des armes, la mission est quasi-impossible pour ces résistants. Leur appel du pied à l’Armée, Police et Légion étrangère est également resté sans réponse.