Analyse des Négociations Complexes entre Israël et le Hamas : Enjeux et Obstacles
Les récents développements concernant les négociations sur la libération des otages entre Israël et le Hamas ont mis en lumière les défis politiques et stratégiques auxquels fait face le Premier ministre Benjamin Netanyahu. Selon les évaluations politiques actuelles, si un accord sur la libération des otages est voté, il est probable qu’il soit adopté par le gouvernement. Cependant, cela pourrait entraîner la démission de figures politiques clés comme Ben Gvir et Smotrich, ce qui transformerait le gouvernement en un gouvernement minoritaire.
Parallèlement à cette perspective politique, une autre évaluation porte sur les chances de succès des négociations en cours. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les obstacles majeurs ne concernent pas le contrôle de l’axe de Philadelphie, la présence au passage de Rafah, ou la prévention du retour des combattants vers le nord de Gaza. Dans ces domaines, il semble possible de parvenir à des compromis acceptables, au moins pour la première phase de six semaines de l’accord.
Le véritable point de friction réside dans la partie de l’accord qui concerne la libération des « gros terroristes » en échange des otages israéliens. Cette section, bien que peu abordée dans le débat public, pourrait être décisive pour l’opinion publique. Les responsables de la sécurité israélienne ont réussi à convaincre une partie du public que Tsahal pourra gérer les défis posés par les zones comme Philadelphie et Rafah. Cependant, la libération de grands criminels pourrait provoquer un revirement d’opinion, réduisant le soutien à l’accord.
En parallèle, des détails concernant une proposition américaine ont été révélés par une source du Hamas. Cette proposition comprend notamment une réduction de la présence des forces israéliennes dans l’axe de Philadelphie, sans retrait complet, et prévoit une surveillance des retours vers le nord de Gaza via Netzer. Un autre aspect de cette proposition concerne l’expulsion d’un grand nombre de prisonniers libérés par Israël. De plus, Israël conserverait le droit de refuser la libération d’au moins 100 prisonniers. Enfin, un cessez-le-feu permanent pourrait être discuté dans une deuxième phase, avec une menace de reprise des combats si le Hamas n’accepte pas les conditions israéliennes.
Le Hamas a déjà exprimé son rejet de certaines de ces propositions, tout en attendant le texte final pour formuler une position définitive. Le médiateur américain prévoit de rencontrer les parties égyptienne et qatarie dans les prochains jours pour tenter de combler le fossé entre les positions des deux camps.
Lors d’une réunion du cabinet, Netanyahu a insisté sur le fait que la pression devait être exercée sur le Hamas et son leader Yahya Sinwar, et non sur le gouvernement israélien. Il a réaffirmé l’importance de la fermeté sur les principes de sécurité d’Israël, tout en continuant les efforts pour rapatrier les personnes enlevées.
En conclusion, les négociations restent extrêmement complexes, avec des enjeux politiques et sécuritaires majeurs qui pourraient influencer l’issue de cet accord et la stabilité du gouvernement israélien. Les prochains jours seront cruciaux pour déterminer si un compromis peut être atteint, ou si les tensions vont continuer à monter entre Israël et le Hamas.
Jforum.fr
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Si Obama et sa clique lâchaient les baskets d’Israël, il n’y aurait rien de complexe.
Le problème serait simple, d’autant qu’il n’y a plus de dirigeants du hamas.
L’équation serait enfantine :
Recevoir la liste des otages vivants et accorder une semaine aux ordures animalisées planquées dans des tunnels, pour les relâcher.
Israël relâcherait une dizaine de prisonniers parmi les plus malades/en fin de vie pour les expulser vers les pays qui accepteraient de recevoir cette pourriture.
Le Shin Bet pourra suivre ces ordures et exécuter ceux qui auraient la mauvaise idée de reprendre des activités terroristes ou de s’engager dans la violence.
Demander aux rats planqués sous terre de déposer les armes et de se rendre, faute de quoi, il faudra balancer des gaz asphyxiants dans le « métro de Gaza« .
Il serait alors possible de discuter de l’avenir de la Bande de Gaza tranquillement une fois le grand ménage bien avancé.
Cela ressemble à de la science fiction, sauf que c’est la véritable solution aux problèmes auxquels sont confrontés Israël/Tsahal, en raison d’une folie américaine liée aux prochaines élections, et à une peur panique qui fait trembler la plus grande puissance du monde, face à l’Iran qui fait ce qu’il veut et balade tout le monde.
Tous les pays qui adorent les palestiniens mais qui n’en veulent surtout pas chez eux, pourraient être utiles en s’occupant des populations civiles libérées.
Bien entendu, ceci ne serait que l’ébauche d’une solution réaliste pour Israël…
Netanyahu, bevakasha, vite, l’ Iran ! Patrick Lévy.
Il ne faut pas dire “négociations”, il faut dire “chantage”.
Nous espérons compter sur l’intelligence subtile du Roch hamemchala pour faire trainer ces pressions antijuives US, jusqu’à après la réélection de TRUMP. La vermine dems croit que la capitulation Israélienne l’aiderait.