Peillon candidat : Valls met en garde contre les candidatures faites pour « affaiblir ».
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A Gauche, un seul de ces 4 hommes (Valls, Montebourg, Peillon et Macron- qui ne participe pas à la primaire-), doit survivre au 1er Tour. Dites lequel
Primaires à gauche : cela ressemble à « Ok Corral », un western duquel un seul doit survivre.
L’entourage de François Hollande, courant central du Parti Socialiste, s’appuie sur Vincent Peillon pour faire bloc contre Manuel Valls jugé trop « libéral ». Un militant humaniste et pédagogue, fils de Banquier communiste et de chercheuse judéo-alsacienne, transformé en « killer » par le camp Hollande-Aubry pour « faire la peau » tant à Manuel Valls qu’à Emmanuel Macron : l’un dans le cadre de la primaire et l’autre, au premier tour de la Présidentielle, tous courants confondus… Si et seulement si l’une de ces trois personnalités est encore sur pied pour affronter les gladiateurs de la droite et de la droite radicale lepéniste dédiabolisée. Autant dire double-tache (et risque de double-peine) : mission-impossible et opération-suicide.
C’est, précisément, le genre de règlements de compte politiques dont un camp ne se relève pas. D’autant que le FN fait bloc derrière Marine Le Pen -hormis les peaux de banane de papa- et la droite, désormais, devra se discipliner pour soutenir comme un seul homme François Fillon.
Vincent Benoît Camille Peillon est le fils de Gilles Peillon (1928-2007), banquier et communiste, qui fut directeur général de la première banque soviétique hors d’URSS, la Banque Commerciale pour l’Europe du Nord – Eurobank, puis de la banque franco-algérienne Union méditerranéenne de banque. Du côté maternel, il est issu d’une famille juive alsacienne : sa mère, Françoise Blum, née en 1930, fut directrice de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), spécialiste en physiopathologie de l’hypophyse ; son grand-père était le professeur Léon Blum (1878-1930), spécialiste de la physiopathologie rénale à Strasbourg, initiateur de l’insulinothérapie en France, fils aîné du rabbin Félix Blum (1847-1925) et de Jeannette Lederman ; sa grand-mère Thérèse Lion (1894-1985) est la fille d’un assureur de Moselle, avocate et féministe, dont le militantisme marqua particulièrement le jeune Vincent ; son oncle maternel est Étienne-Émile Baulieu (né Étienne Blum), coinventeur de la pilule RU 486, professeur honoraire au Collège de France, et sa tante maternelle est Suzanne de Brunhoff économiste au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), belle-fille du créateur de Babar.
Le dernier carré des fidèles de François Hollande ne décolère pas et pousse l’ancien ministre de l’Education nationale à se présenter contre l’ex-Premier ministre. Mais Manuel Valls menace: gare aux tentatives de divisions à gauche.
Vincent Peillon, ancien ministre de l’Education nationale de Jean-Marc Ayrault, réfléchit à se lancer dans la bataille de la primaire de la gauche. Et visiblement, l’idée ne lui est pas venue toute seule. Si Martine Aubry a, un temps, été considérée comme l’instigatrice de cette éventualité, l’hypothèse vient d’ailleurs.
Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, porte-parole du gouvernement, et à présent brouillé avec Manuel Valls dont il a jugé le comportement déloyal envers le chef de l’Etat ces dernières semaines, évoquera en tout cas l’hypothèse ce mercredi, à 16h30, avec quelques députés.
Vincent Peillon revient de loin
Vincent Peillon pourrait prendre sa décision en cette fin de semaine, et réunir ses soutiens en début de semaine prochaine. Le retour sur le devant de la scène de cet ancien ministre, aujourd’hui âgé de 56 ans, est surprenant. Retiré de la politique nationale depuis 2014 et son départ du gouvernement, le député européen donne à présent des cours de philosophie à Neuchâtel, en Suisse.
L’hypothèse d’une campagne de Vincent Peillon dans le cadre de la primaire de la gauche illustre la volonté de certains « hollandais » de vouloir lutter contre Manuel Valls sans pour autant se rallier à Arnaud Montebourg.
« La candidature logique du Parti socialiste »
Pour Patrick Mennucci, la candidature de Vincent Peillon incarnerait le « point d’équilibre de la ligne traditionnelle du Parti socialiste ». Le député PS des Bouches-du-Rhône s’est d’ailleurs dit prêt, ce mercredi sur BFMTV, à soutenir la candidature de l’ancien ministre de l’Éducation si celui-ci désirait se présenter.
« Vincent Peillon, ce n’est pas un candidat de plus mais un candidat pour tous. C’est la candidature logique du Parti socialiste », a-t-il martelé.
De son côté, Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du PS, s’est réjoui lui aussi de cette nouvelle candidature, mercredi sur France Culture.
« Vincent est un ami, c’est une personnalité que tout le monde connaît dans le Parti socialiste, au-delà je le pense aussi parce qu’il était ministre de l’Education nationale. Il a des choses à dire, je pense, au pays et pas seulement au parti ».
La mise en garde de Valls
Un candidat à la primaire de la gauche ne peut pas se présenter « pour affaiblir » ou être un « candidat contre », a déclaré Manuel Valls mercredi. « C’est ma conception. On ne peut pas être candidat contre », a déclaré l’ex-Premier ministre. Quant à Vincent Peillon, « c’est un garçon intellectuel qui réfléchit aux problèmes de la France. Et je ne vais pas le disqualifier d’un mot ou d’une formule ».
« Moi je suis candidat à la présidence de la République, je parle aux Français », a encore fait valoir Manuel Valls. « Je ne suis pas candidat pour participer à un nouveau débat sur la gauche. La gauche adore parler d’elle-même et c’est même parfois sa raison d’être », a-t-il affirmé.
Vincent Peillon candidat à la primaire de la gauche !
Le courant central du Parti socialiste n’avait pas de candidat. L’ancien ministre de l’Éducation sort de sa réserve pour abattre Manuel Valls et Arnaud Montebourg.
« Il est prêt », souffle le député marseillais Patrick Mennucci. Vincent Peillon, l’ancien ministre de l’Éducation nationale, est parti pour être candidat à la primaire de la gauche. Depuis plusieurs jours, sa motivation rencontre l’adhésion d’une partie des hollandistes orphelins depuis le renoncement de François Hollande et pas convaincus par le rapide virage à gauche de Manuel Valls, jusqu’ici situé sur l’aile droite du PS.
Vincent Peillon, 56 ans, entend ainsi profiler une candidature représentative du centre social-démocrate du PS. Plusieurs noms pouvaient y prétendre : Marisol Touraine, mais elle n’avait pas beaucoup d’appétit et craignait d’être instrumentalisée ; Jean-Christophe Cambadélis, mais son rôle d’organisateur de la primaire exige la neutralité ; Pierre Moscovici, mais ses fonctions à Bruxelles lui dictent de passer son tour pour éventuellement revenir en 2022.
Cette candidature présente plusieurs avantages pour le courant central du PS. D’abord, Peillon a été loyal vis-à-vis de François Hollande. Il n’a, à aucun moment, participé à l’empêchement du président par une série de petites phrases assassines. Son départ précoce du gouvernement pour conduire une liste aux européennes de 2014 est sans doute porteur de reproches vis-à-vis de la ligne hollandaise, mais il s’est bien gardé d’émettre publiquement des critiques. En tout cas, il n’a pas, contrairement à Manuel Valls, Arnaud Montebourg et Benoît Hamon, participé au complot visant à chasser Jean-Marc Ayrault de Matignon. Ses trois adversaires, à l’époque, étaient complices…
Un « droit d’inventaire » ?
Son départ du gouvernement lui évite de porter la totalité du bilan du quinquennat, mais, comme il ne l’a pas dénigré, il peut aussi choisir de le défendre en exerçant un « droit d’inventaire », selon l’expression autrefois employée par Lionel Jospin à propos du mitterrandisme. Par exemple, il n’est impliqué ni dans l’affaire de la déchéance de nationalité, ni dans la loi travail, ni dans l’usage du 49.3 pour la loi Macron.
Il fut le concepteur de toutes les réformes de l’Éducation nationale menées sous le quinquennat Hollande. C’est en effet dans l’opposition que la réforme du primaire puis celle du collège ont été conçues sous son égide. Benoît Hamon et Najat Vallaud-Belkacem, qui lui ont succédé rue de Grenelle, ont déroulé en ajustant ce qu’il avait lancé dans la loi de refondation de l’École de la République. Il est celui qui a mis en place la réforme des rythmes scolaires et, à ce titre, assumera, dans le débat, la bronca des élus locaux qui ont pesté contre leurs coûts. Ce sera, en tout cas, un angle d’attaque de la droite contre lui s’il gagne la primaire. Mais ni Manuel Valls ni Arnaud Montebourg et encore moins Benoît Hamon ne pourront lui en faire le grief.
Vincent Peillon n’avait pas prévu de se présenter puisqu’il ne pouvait imaginer que François Hollande se saborderait. Il lui faut en à peine un mois fédérer des soutiens, réunir des équipes et rédiger un programme présidentiel. C’est très court. Il peut compter, comme François Fillon, sur les trois débats télévisés qui seront organisés pour faire entendre sa petite musique et éventuellement créer la surprise. On sait que, par les temps qui courent, elles sont nombreuses…
Peillon, Vals, Macron, Hollande et tous ces charlots : Aux primaires à gauche n’allez pas voter, ça ce serait une sacrée revanche et une sacrée leçons pour tous ces charlots, ils veulent nous voler notre épargne, pour payer les armes de la guerre qu’ils ont eux mêmes provoqués, ils veulent nous voler nos retraites, gelé les salaires pour faire rentrer l’argent dans les caisses de l’état, l’argent que eux mêmes ont délapidés, la preuve c’est qu’ils veulent refonder une république qui a été déjà créé mais tout ça c’est dans l’alternatives de nous voler un peu plus de sous,
ils veulent nous supprimés les plans épargne, geler nos salaires, geler nos retraites, geler nos plans épargne logements MAIS ATTENTION ILS NE FAUT SURTOUT PAS SUPPRIMER NI LEURS PAYE, NI LEURS PRIMES, ce sont des voleurs, et en plus ils ne savent pas gérer la France, voilà ce qu’est la gauche, votre compte épargne bientôt vous n’aurez plus le droit de profiter des sous que vous avez durement mis de côtés, Ce gouvernement appauvrit la France de plus en plus, aucun de ces charlots n’est capable de relever la France, bien au contraire, ils vont continuer de l’appauvrir
Vincent Peillon est un homme de valeur qui aurait du faire partie du Gouvernement de Manuel VALLS; or, celui-ci a préféré prendre EL-KOMHRI comme ministre du Travail ce qui a abouti à faire une loi enfantée aux forceps contre la majorité de l’Assemblée Nationale par l’Article 49-3 ; maintenant, c’est Manu qui va payer la facture de tous les délires de Hollande; et à cause de lui le Part Socialiste ne sera pas représenté au 2ème tour des élections Présidentielles en 2017; quant aux législatives, ce sera Waterloo.
Sans interet , y compris pour ces Juifs de service qui n ont jamais leve le petit doigt pour Israel !
IL Y AURA BIENTOT PLUS DE CANDIDATS A LA PRESIDENTIELLE QUE D’ ADHERENTS AU PS
Le ton général frôle quelque chose qui me met très mal à l’aise !
Juif alsacien chargé de …
vous ressemblez à nos adversaires, avec ces titres racoleurs et hors de propos, dommage
En quoi la précision « juif alsacien » était-elle nécessaire ?
Des Juifs Alsaciens comme ça! j’en ch…tous les matins!
C’est un sale type sectaire de Gauche Radicale et prétentieuse et dangereus pour tout le monde.
Un Crétin-Savant de ceux qui nous ont conduit azu cataxclysme actuel…C’est un Judas à la catholique
pas un Juif!
Narcissique comme tout Politique, il n’est ni fiable ni sérieux, malgré les « apparences » (de pervers politique…)
Allez vous faire voir avec vos « Juifs par la Mère »! j’en connais trop qui ne sont que des cons et dangereux salauds.
Être juif n’est en aucun cas un « certificat de bonnes moeurs » Il y en a de nos jours qui trahissent comme ceux des Ghettos: Judenräte, Polices juives et autres affairistes de Marché Noir….! Combine se sont suicidés de désespoir comme Adam Cerniakow?????? Allons cessez vos conneries!
Vous avez raison sur beaucoup de points mais vous n’êtes pas obligé d’être vulgaire !
BRAVO Jankel !!!! C’est bien vrai tout cela !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Bien vu
» politique extérieure » » à la tête de l’Etat » !!! excusez , je ne prends pas le temps de relire ….
Pour moi, ce qui compte.. c’est la politique extérieur, notamment celle envers ISRAEL ! Qu’a fait Manuel VALLS à l’UNESCO ??? tout était honteux , ou alors il n’a aucune notion de L’HISTOIRE … comme Hollande d’ailleurs ! et remplacer un ignare par un autre ignare a la tête de l’Etat, n’a pas de sen s !!!
Mais Valls retourne sa veste comme d’hab : Avant de connaître sa femme il était plutôt pro palestinien : Il ferait mieux de se mettre au courant avant !!!!!