L’heure n’est pas encore au bilan politique de l’oeuvre de Shimon Peres z’l, disparu le 28 septembre 2016.

Nous ne voudrions pas trop insister sur cette ironie de l’histoire, dans le calendrier grégorien, s’entend : il y a seize ans, très exactement, le 28 septembre 2000, Ariel Sharon z’l, alors dans l’opposition, face à Ehud Barak, grimpait sur le Mont du Temple. Il voulait rappeler, en plein « processus » déjà enraillé, qu’un Juif (et quel Juif!) devait aussi s’autoriser à s’élever à la hauteur de son retour sur sa Terre, si près du Saint des Saints!

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L’Intifada n’était déclenchée, par les sbires de Marwan Barghouti, que plus de 30 heures plus tard, par des jets de blocs de pierre sur les fidèles juifs en prière, au pied du Mur Occidental. Néanmoins, la propagande antisioniste alimentée par la France de Chirac et Leila Shahid, sa conseillère en politique étrangère, ne voudra retenir que cette élévation de Sharon comme point de départ des « incidents ». Puis, 4 ans plus tard, à la mort d’Arafat, viendra le régime de croisière Abbas… pour justifier d’une « ni guerre ni paix » quasi-permanente, entrecoupée de haine atrabilaire inextinguible…

Ironie toujours, c’est pourtant, pas rancunier, Ariel Sharon que Shimon Peres choisira de rejoindre en 2006, au sein du groupe centriste Kadima, dont la vie politique fut des plus brèves et que l’histoire ne retiendra qu’autour du retrait du Gush Katif à Gaza.

Ces diverses scènes épiques représentent, presque à elles seules, les différents virages d’un « Processus de Paix », voulu par Peres, peut-être, contre l’establishment Travailliste même, puisque Peres, Beilin et d’autres ont négocié en infraction avec la loi et l’avis des services secrets, à l’époque. Peres et Sharon ont, jusqu’à un certain point et dans des camps politiques divergents, soutenu l’installation des implantations juives de Judée-Samarie : Shimon Peres est, en tant que Ministre de la Défense, à l’origine d’un accord entre sa coalition et le Goush Emounim de Zvi Yehouda Kook, Moshe Levinger et quelques autres, dont Shlomo Aviner (le bloc de la Foi- 1975-). Chacun à sa façon, a fait un pas de côté (« désengagement ») ou tendu la main à « l’adversaire-partenaire » palestinien, avec des déconvenues diverses et variées.

Ironie toujours, n’est-ce pas le retrait de Gaza qui, avec les élections inter-palestiniennes de 2006, a provoqué, définitivement, l’implosion de la « Cause Palestinienne » en deux blocs inconciliables : l’islamisme génocidaire du Hamas prenant le contrôle de Gaza [hirondelle annonciatrice de la « contre-révolution djihadiste » de Daesh et consorts, dans tout le monde arabe] ; et, de l’autre côté, un dominion ingérable à Ramallah, squatté par un groupe de corrompus affairistes, les caciques de l’OLP revenus de Tunis, qui ont surtout versé dans les Panama Papersplutôt que donner un « avenir » à un projet et à un peuple?

Que reste-il vraiment, concrètement, aujourd’hui, de ce « processus de paix »? Ne peut-on aussi dire qu’au-delà des clivages politiciens entre Droite et Gauche, de la dénonciation idéologique pure et simple, ce processus est aussi la petite lueur dans le « tunnel » qui a contribué à resserrer les liens diplomatiques avec une bonne partie du monde, y compris arabe,  les blocs post-soviétiques, l’Inde (à partir de 1992), servi de rails au développement des échanges, de la High Tech, de la Start-Up -Nation, avec cet effet indésirable majeur : celui d’alimenter un antisionisme maladif au sein des opinions, nourri par des officines comme BDS, dont l’antisémitisme chronique n’est plus à démontrer et relayées par l’Europe officielle, qui se targue tant d’oeuvrer à la « Paix » en discriminant l’une des parties?

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  • 1- Rabin- Peres : Des différences d’approche jamais comblées ?

Peut-on évoquer le « processus de paix » sans parler des attentes de chaque camp, et, à l’intérieur de ceux-ci, des différences de conception qui construisent des stratégies de négociation parallèles ? La formule selon laquelle il existerait un « camp de la paix » homogène, face à une opposition intransigeante, en Israël, occulte la portée de ces débats internes et met hors-jeu toute tentative similaire, menée à Droite, qui nuance les postures idéologiques. D’autre part, quand a-t-on vu des foules arabes, dans les territoires ou à l’extérieur, manifester en masse sous le sigle de « La Paix Maintenant », organiser de grands happenings, comme celui du 4 novembre 1995, pour exprimer un réel désir de concorde avec les Juifs ? La négociation est un pari, une table de jeu, où on arrive en anticipant sur le risque à prendre et une distinction claire entre ce qui est « négociable » et ce qui ne l’est pas. Contre toute naïveté, ce processus correspond à la poursuite des fins du conflit par d’autres moyens (coopération sécuritaire et économique), jusqu’à leur terme acceptable par les deux parties.

Rabin voit en Oslo une occasion d’offrir une autonomie aux Palestiniens tout en assurant la sécurité à Israël[1], mais il reste méfiant, quant à l’idée de Shimon Peres d’envisager un Etat, entre Israël et la Jordanie. Ce dernier a fait effacer une clause du programme travailliste, avant les élections de 1992, affirmant que le Parti s’opposait encore à ce concept d’Etat. Mais l’accord de principe de 1993 ne comporte pas, pour autant, de notion étatique comme finalité explicite. Peres mise sur la « rationalité » arabo-musulmane, pour parvenir à un « Self-government » des territoires. On ne s’appuie sur aucun fait préexistant, qui reste à construire progressivement, « de toute pièce », dit-il. Le Parti donne la prééminence au Général plutôt qu’au rêveur.

S’il existe des litiges entre Rabin et la droite, on ne peut ignorer, en parallèle, la non-concordance de vues qui l’oppose à son bras droit, Peres, et leurs rapports tendus, sur une durée de plus de quarante ans. L’un est un général admiré, l’autre, un non-militaire, ayant eu, entre les mains, les leviers de la Direction Générale de la défense. Pour l’opinion, le Prix Nobel et Ministre des affaires étrangères, S. Peres est le pilier de l’entente préalable à Oslo. D’après le Ministre de la Santé (jusqu’en 1994), Haïm Ramon, Rabin a été mis devant le fait accompli des pourparlers secrets, en Norvège, qui se sont déroulés sans son aval de Premier Ministre. Selon Yaïr Hirschfeld, de l’équipe israélienne à Oslo, le chef de gouvernement élu fait, alors, signer un accord de non-participation directe de Peres aux négociations suivantes, avec la Jordanie, la Syrie et les Palestiniens[2]. Il en ira de même, sous Barak, qui fera chapeauter le futur-ex Président d’Israël (avant Reuven Rivlin) par son conseiller, Guilead Sher, lors des négociations de fin 2000, avec Arafat. Shimon Peres semble donc perçu comme un homme précieux, mais un électron libre utopiste, par l’appareil de la défense. On lui doit, pour partie, la construction du réacteur de Dimona, l’indépendance militaire (en coopération avec la France pré-gaullienne) et de grands projets de modernisation régionale, comme le rêve du « Grand Moyen-Orient » : il devrait passer par une « confédération israélo-palestino-jordanienne », sorte de marché commun proche-oriental.

Or, depuis l’assassinat du Roi Abdallah 1er, le 20 juillet 1951, par un homme du Grand Mufti de Jérusalem, puis « Septembre Noir », en 1970, la couronne Hachémite se défie de l’OLP, au moins autant qu’Israël. Le 31 juillet 1988, la Jordanie s’est retirée de toute gestion du territoire qu’elle occupait (la « Cisjordanie », comme son nom l’indique) pour laisser Jérusalem seul face à ses dilemmes. Ce vide juridique institue un vrai tour de passe-passe, sacralisant la notion de « territoires occupés », à revendiquer par les seuls Palestiniens. Mais, l’histoire ne se termine pas là.

Depuis fin 2012, les Américains, autant que Netanyahou, renégocient avec le Roi Abdallah II, cette même idée de confédération jordano-cisjordanienne. Elle ne se traduit, pour le moment, que par le pacte palestino-jordanien du 31 mars 2013, confiant la garde des Lieux Saints de Jérusalem à la couronne hachémite. Sur le plan régional, une entente tacite autour des principales menaces se consolide, avec la majorité des monarques du Golfe. Ironie de l’histoire, c’est à l’ère pragmatique de Netanyahou que le « projet utopique » de Peres reprend une consistance appréciable, aux accords sécuritaires indispensables près. Les Jordaniens ne veulent pas de Palestiniens garde-frontières dans la Vallée du Jourdain.

Concernant le processus d’Oslo (mené par Peres, Beilin et un panel d’intellectuels), l’option de Rabin pour « l’autonomie dans la sécurité » peut sembler restrictive et contradictoire avec le portrait tracé après sa mort : en l’érigeant comme « le seul » à pouvoir amener « la paix »- principalement, parce qu’il a libéré Jérusalem-, on doit s’interroger, sachant qu’il est facile de « faire parler les morts » : sous quelle forme, dans quel cadre ? La notion de « statut final » (esquissée en 1993) à négocier ultérieurement ne signifie pas, à cette époque, qu’il signerait les yeux fermés la « naissance d’un Etat Palestinien ». S’il s’engage, il n’entend pas céder à toutes les exigences. Il veut éradiquer le terrorisme et rétablir l’image internationale d’Israël, mise à mal, après 1967 et l’opération « Paix en Galilée », menée au Liban, en 1982. Il répète, à plusieurs reprises, notamment, lors de l’attribution du Prix Nobel de la paix, que c’est une erreur de concéder quoi que ce soit, avant de résoudre les « vraies causes du conflit ». Il n’est pas question d’annoncer des intentions, ni de procéder à des retraits sans une réciprocité qu’il aura grand mal à rencontrer. I. Rabin est le signataire d’accords « intérimaires », l’initiateur d’une amorce conjointe. Il ne s’est jamais prononcé sur un statut permanent. Ce principe de précaution ne minimise en rien, au contraire les mérites propres de l’ancien « Faucon » travailliste. Seulement, le récit apologétique devient un postulat, qui ne nous apprend rien, ni sur le processus lui-même, ni sur l’homme.

A l’opposé, la démarche palestinienne est, jusqu’à ce point, déclarative, entachée de double-discours, où l’on « renonce au terrorisme », qui ne disparaît jamais vraiment. Où l’on aspire à la « paix des braves » sans jamais reconnaître les droits ni l’existence légitime de l’adversaire-partenaire. Dans ses textes fondateurs, l’OLP ne revendique ni Etat, ni ne le situe en Cisjordanie ou à Gaza. « Septembre Noir », en 1970, sur tentative de coup d’Etat à Amman, avec l’aide de Damas, indique clairement que le « territoire mythique » de la souveraineté palestinienne recherchée s’étend bien au-delà du « Jourdain jusqu’à la Mer » : si le coup de force de Septembre 1970 avait fonctionné, le royaume hachémite aurait été balayé et la Jordanie rayée de la carte, au profit d’un projet de « Grande Palestine ». Cette profondeur stratégique atteinte, ce pays aurait servi de passerelles à toutes les armées d’Irak, Syrie et au-delà, pour mener le « Grand Djihad »,sous la bannière d’un quelconque « Raïs ». L’histoire n’a retenu que le massacre des réfugiés et guérilleros par un roitelet implacable. Les conséquences, jamais les causes du conflit…

L’organisation veut « libérer » le peuple qu’elle dit représenter, dans un combat « par étapes », annoncé dès 1974 par Kadoumi. Bien des questions resteront au centre des discussions et ne trouveront jamais de compromis acceptable. On peut se demander si l’OLP n’est pas entrée dans ce cycle de discussion avec ses propres intransigeances en « tout ou rien », qui ne bougent guère, avec le temps : Jérusalem, le « droit au retour » des réfugiés de 1948 et 1967, les « frontières » d’un futur « Etat » ne font guère place à des modifications territoriales, prenant en compte, par exemple, le sort des implantations. En quoi les « input » (ou mises préalables) limitent, d’entrée, les résultats ultérieurs ?

  • 2- Gestion de conflit et « paix » des nouveaux marchés économiques :

A partir de 1993, des ennemis déclarés, comme le Pakistan (manoeuvres communes récemment) ou les pays du Golfe, plus neutres, comme le Maroc et la Tunisie, sont prêts à ouvrir des comptoirs commerciaux, via des pays-tiers (dont Oman), tant que cela ne s’ébruite pas trop. Des alliances stratégiques renforcées, avec l’Inde ou la Turquie (jusqu’à l’avènement de l’AKP d’Erdogan), sont dans les cartons. La Jordanie, indispensable intermédiaire modérée dans la région, ne tardera pas à mettre un terme à l’état de belligérance, auquel elle a, plusieurs fois, participé, au nom de la solidarité arabe, sans vraie conviction. Elle n’aurait, auparavant, pas pu se le permettre, à cause de la proximité de l’Irak et de la Syrie, notamment.

D’autres bénéfices secondaires du processus sont liés aux ouvertures stratégiques de l’OTAN (Italie, Grèce…), dont plusieurs pays intensifieront leurs échanges, au fur et à mesure.

Surtout, à tout point de vue, Israël est un des grands bénéficiaires, depuis 1991, de l’effondrement du Mur de Berlin, auquel, à sa façon, il a participé par ses victoires contre les armées dotées de divisions de tanks et d’escadrilles de chasse  soviétiques et les renseignements échangés avec Washington. Beaucoup d’anciens pays du « Bloc de l’Est » se rapprochent de l’Europe, mais ont besoin d’assurer leur défense et la nouvelle donne économique, vis-à-vis du voisin et ex-parrain. Ils ne sont plus tenus à la rhétorique anti-Israélienne, « avant-poste de l’Impérialisme ». Il en va de même, pour certains pays arabes, s’appuyant, autrefois, sur l’URSS. D’autres pays d’Afrique subsaharienne (dont le Nigéria) s’émancipent de la tutelle de l’OPEP et des obligations marxistes, ainsi que les Asiatiques, comme le Laos, le Cambodge, le Vietnam, historiquement, bien placés pour faire la différence, dans la guerre psychologique, entre « lutte armée de libération » et terrorisme. In Fine, Chine et Russie, libérées du carcan idéologique, voient en Israël le symbole d’une réussite économique malgré l’adversité, qui peut, par des échanges, leur ramener plus de bénéfices que de problèmes.

Les focalisations sur le « conflit » emblématique ou les « erreurs de la (seule) gauche » omettent, trop souvent, d’intégrer ces variables globales, des changements géostratégiques majeurs, qui accompagnent le « processus », et favorisent la prospérité d’un petit état confiné du Proche-Orient, en voie de désenclavement. Cette marche en avant commence lors de la Conférence de Madrid, en 1991, où d’anciens adversaires, en recherche de médiation vis-à-vis des Etats-Unis, passent par la « case » diplomatique israélienne, serrent quelques mains et renouent des liens, pour glisser sous parapluie américain.

La contrepartie de ces succès de coulisse va être une dramatisation de la scène interne et internationale, par la survivance, ou plutôt, l’inflation outrancière du spectre antisioniste. « Logiquement », il aurait dû graduellement s’estomper. C’était le « Sens », kantien, rationnel, « de l’histoire », le Progrès inéluctable auquel on devait s’attendre. Peres était persuadé qu’un « accord historique » redonnerait un élan à la gauche et susciterait une approbation internationale. Paradoxalement, c’est par l’entremise de l’ONU, dont l’U.E est un membre influent, que le rejet d’Israël et des Juifs va conserver une caisse de résonance, égale à ce qu’elle était dans les années 1970, au fil des condamnations réitérées du petit Etat Juif. L’échec des discussions avec les Palestiniens va renforcer le camp des « déçus » du « Processus » et enclencher un désenchantement, faute  de « partenaire » introuvable. La droite sceptique s’affirme après le déclenchement de l’Intifada et le retrait de Gaza, le réalisme reprend ses droits.

Israël continuera d’être mis au ban des Nations, lorsque tout pouvait préfigurer l’inverse. « La paix », dans cette novlangue, se nourrit alors des fruits vénéneux de l’hostilité unanimiste, des pressions, des attentats, de résolutions suffisamment bruyantes pour constituer une bulle emphatique gonflée de toute sa vacuité et inonder les « zones grises » des opinions indécises. La guerre des mots se substitue au manque de moyens effectifs pour faire pression et alimente les postures (/impostures) les plus extrémistes. S’agissant du devenir d’une même terre, s’observe un effet de vases communicants : à mesure de la reconnaissance des revendications palestiniennes, la remise en cause de l’existence d’Israël, sa dé- légitimation, s’accentuent et alimentent directement la poursuite des hostilités sur le plan idéologique et sécuritaire, qui n’a plus à voir avec la seule notion « d’échange de territoires », mais plutôt avec celle de « conquête » (Fatah, en arabe). On insiste, souvent, sur le développement de l’antisémitisme en Europe, à partir de la Seconde Intifada, soit en septembre-octobre 2000. Ses germes sont semés, bien avant (années 1960-70, avec le tournant de 1973). Depuis Oslo, l’exposé du « Sioniste occupant/voleur de terres » intransigeant, qui refuserait de « compenser » les malheurs infinis que sa seule existence provoque, s’affirme.

A l’ancienne certitude de la précarité de cet Etat, face aux puissances coalisées de l’OPEP et des pays arabes, des alliés de l’URSS et de leurs dominions en Afrique/Asie, semble se substituer l’amertume envieuse et la rage de détruire, propres à un panel de régimes totalitaires subsistants de l’ère bipolaire, avec l’impulsion des « islamo-révolutionnaires » iraniens, puis leurs épigones et opposants sunnites. Le terrorisme, intellectuel et matériel, n’en prend que plus de virulence. Il va opposer, pendant plus de dix ans (1994-2005), les escouades de la mort, travestie en bombes humaines, aux amants de Sion.

Par ©Marc Brzustowski

 

Extraits :

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Médias, Jihad, antisémitisme : Les Liaisons dangereuses. Vidéo

 


[1] O. Savir (négociateur à Oslo) : Les 1.100 jours qui ont changé le Moyen-Orient. Paris, Odile Jacob, 1998.

[2] Y. Hirschfeld. Oslo : a formula for peace, (en hébreu) Am Oved, Tel Aviv, 2000.

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BERNARD Gilbert

Paradoxe de ce jour: l’accumulation d’antisémites autour de S Pérès!!!
L’esprit pourri qui les maintient sous son emprise les amène à se prosterner devant un exemple de ce qu’ils abhorrent!!!
Les trois prix nobel de la [paix (avec un petit ‘p’)] ont maintenant disparu et il n’en reste pour qu’un souvenir des deux grands juifs Rabin-Pérès entourant, comme symbole de leur position, le kefieh-porteur aux mains ensanglantées.
Ce sont les juifs qui ont porté leur combat aux yeux des nations et même s’ils se sont (ET ONT ETE) trompés, il reste que leur renommée va demeurer dans les ciels de gloire auprès de leur Créateur. Pas pareil pour le 3°  »encadré » !!
Tant qu’il y aura des humains terrestres pour rejeter le Créateur à qui ils doivent la vie, il n’y aura pas de paix véritable, car SEUL le Créateur est PAIX, Adonaï Ehrad, béni soit-IL.
Je suis français, non juif, mais comme chrétien évangélique, soutien inconditionnel du pays de MES racines spirituelles communes avec les juifs.
Et je signe en clair gilbert.bernard3@orange.fr

yaakova

Je suis en train de lire la guerre d’Oslo : tout a été fait pour éliminer Israël étape par étape! C’est pourquoi Israël le paie aujourd’hui. Si Israël se protège des pressions extérieures, alors le Pays doit être ferme, et puisque aucun des engagements n’a été tenu, doit se sortir de cette spirale infernale en reprenant, Gaza, et annexer complètement la Judée Samarie tout entière, et stopper ce soi-disant processus de paix, qui en définitive a été instauré pour un génocide d’Israel !

Ixiane

Bravo Marc Brzustowski pour cette excellente analyse, un plaisir de vous lire ; si ça pouvait enrichir le pois chiche de certains dirigeants responsables des malheurs de cette Terre !!