Le chef de la Diplomatie allemande provoque un incident avec Netanyahou
La visite du chef de la diplomatie Allemande en Israël risque fort de marquer un tournant dans les relations entre les deux pays. Binyamin Netanyahou n’a en effet pas apprécié que sur l’agenda du ministre allemand, des rencontres ont été planifiées avec des organisations anti gouvernementales israéliennes voire anti-israéliennes.
Sigmar Gabriel avait l’intention d’organiser des réunions durant son séjour aussi bien avec les membres du gouvernement qu’avec les représentants de B’Tselem ou Shovrim Shtika. Cette activité parallèle du ministre allemand n’a pas été du gout du Premier ministre israélien qui a mis son invité au pied du mur : « ce sera eux ou nous », a dit en substance Netanyahou.
Jérusalem a mis en demeure la délégation allemande de choisir son planning, laissant entendre qu’il n’y aura pas de rencontre avec le chef du gouvernement en cas de non modification. Un véritable ultimatum lancé à un représentant d’un pays pourtant proche d’Israël, qui marque l’agacement au plus haut point d’Israël à l’égard de dirigeants « dont l’action entretient les dénégations et la délégitimation d’Israël dans le monde », selon un proche du Premier ministre.
Fort de cette mise en garde inhabituelle, il se pourrait fort bien que Sigmar Gabriel demande à des responsables subalternes d’honorer ses rendez-vous avec les organisations d’extrême gauche afin de ne pas froisser davantage Binyamin Netanyahou. Mardi matin, aucune décision n’avait encore été communiquée à la presse.
Le ministre allemand des Affaires étrangères, est arrivé en Israël hier après-midi pour se joindre à des événements marquant la Journée du Souvenir de la Shoah et rencontrer des responsables israéliens et palestiniens.
Gabriel a déclaré à son arrivée qu’il était profondément conscient de la responsabilité historique de son pays pour la Shoah et les crimes de la Seconde Guerre mondiale. Cette responsabilité est un avertissement et un engagement pour à lutter contre l’antisémitisme, pour la dignité humaine, la tolérance et la compréhension entre les peuples.
Alamo a tord. L’Allemagne hitlerienne avait commis l’irréparable, mais dire que l’Allemagne d’aujourd’hui est nazie c’est manquer de lucidité.
Cependant Bibi a parfaitement raison d’être ferme avec les représentants internationaux qui doivent s’habituer à avoir une politique cohérente. On ne peut pas serrer la main d’un ami en faisant des sourires à ses ennemis
Pas « l’Allemagne d’aujourd’hui », mais le fils de sympathisant Nazi Sig(o)mar Gabriel. Vu son pédigree, c’est de la récidive dans la radicalisation
ah ces nazis ils prennent toujours les juifs pour des cons apres avoir vendu des chambres a gaz pour des douches a desmalheueux epuises et sans espoir ils continuent avec ce gros porc ….les temps ont changes et bibi lui crache a la gueule de porceau…..