La grimace de Najat Vallaud-Belkacem à l’annonce de son successeur
C’est l’ancien directeur général de l’enseignement scolaire sous Nicolas Sarkozy qui a été choisi pour remplacer la ministre de l’Éducation de François Hollande.
Najat Vallaud-Belkacem n’a pas pu cacher son mécontentement. Son successeur à la tête du ministère de l’Education nationale ne lui plaît pas du tout. Pour preuve: sa moue de dégoût lors de l’annonce de la nomination de Jean-Michel Blanquer, ce mercredi, comme l’a remarqué BFM.
« Il a été le numéro 2 au ministère de l’Éducation nationale sous Nicolas Sarkozy donc toute la politique qui a été conduite sous Nicolas Sarkozy à l’Éducation nationale -les 80 000 postes supprimés, etc.-, c’était lui quand même. Ce n’est pas rien de le voir arriver aujourd’hui au ministère », a-t-elle expliqué au Quotidien, qui a également isolé la grimace vue sous un autre angle.
À ce moment précis, Najat Vallaud-Belkacem apprend le nom de son successeur, Jean-Michel Blanquer. @CamCrosnier #Quotidien pic.twitter.com/nPRaOyM169
— Quotidien (@Qofficiel) 17 mai 2017
« Je lui souhaite vraiment de réussir, je pense qu’il faut aussi essayer de faire confiance », a-t-elle ajouté.
« La boîte à idées »
Homme de l’ombre, Jean-Michel Blanquer a tour à tour dirigé l’Institut des hautes études de l’Amérique latine, a été recteur de l’académie de Guyane, directeur adjoint du cabinet de Gilles de Robien lorsqu’il était ministre de l’Éducation, puis recteur de la grande académie de Créteil en 2007, avant d’être nommé en 2010, pendant les années Sarkozy, directeur général de l’enseignement scolaire.
PORTRAIT >> Jean-Michel Blanquer, un pragmatique sans tabou à l’Éducation
Le nouveau ministre de l’Éducation, que l’on surnomme la « boîte à idées », a aussi créé la polémique avec l’expérimentation dans des lycées professionnels d’une « cagnotte » pour lutter contre l’absentéisme scolaire. Une mesure qui vise à troquer présence en classe contre voyage ou cours de conduite. Ce projet de payer les enfants pour qu’ils se rendent à l’école, qui lui vaudra le désaveu de Nicolas Sarkozy, avait mis un coup d’arrêt à ses ambitions.
Par LEXPRESS.fr , publié le , mis à jour à
qu elle se casse cette pouffiasse pro palestinienne et pour une france arabe bon debarras
Bon debarras
Quel enfantillage …
DE toute façon, ce nouveau ministre pourra difficilement faire pire que la précédente.