La semaine dernière, le secrétaire d’État américain John Kerry s’est lancé dans une diatribe de 70 minutes contre Israël. Selon lui, la mésentente entre Israéliens et Palestiniens est plus que jamais, principalement de la responsabilité de l’État juif.
Récemment, les États-Unis s’étaient abstenus de mettre leur veto comme ils le font d’ordinaire contre une résolution de l’ONU condamnant Israël pour la colonisation dans les territoires palestiniens, la désignant comme une violation du droit international, et réclamant son arrêt immédiat.
Kerry s’est demandé comment Israël pouvait “concilier son occupation perpétuelle avec ses idéaux démocratiques ?”
Il a averti le premier ministre israélien Netanyahu et son gouvernement que leur politique de colonisation pourrait se retourner contre eux.
Dans le journal Fresno Bee, Victor Davis Hanson, professeur d’histoire à l’Institut Hoover et à l’Université de Stanford, se demande ce qui a pu donner cette idée à Obama moins de 3 semaines avant son départ du pouvoir.
Pourquoi le monde, incluant désormais les États-Unis, isolent constamment Israël, pourtant un État de droit et un pays démocratique, tout en s’abstenant de sermonner des pays vraiment non démocratiques ?
“La critique est motivée par la lâcheté et la jalousie”
« Personne dans cette administration n’a manifesté autant de colère à propos des milliers de personnes qui ont été tuées ou incarcérées dans la Cuba des frères Castro, beaucoup moins à propos des conditions actuelles dignes de l’âge de pierre au Venezuela ou du gouvernement cauchemardesque du président Rodrigo Duterte aux Philippines, un pays allié.
Le président Obama n’a pas défendu la cause des opprimés pendant la révolution verte de 2009 en Iran. Kerry et Obama ont-ils été aussi indignés après que la Russie a occupé l’Ossétie du Sud, la Crimée et l’est de l’Ukraine ?
Samantha Powers, notre ambassadeur auprès des Nations unies, n’a jamais été aussi passionnée par les frontières du Tibet occupées par des Chinois, par le Nord de Chypre occupé par des Turcs. (…)
Pour partie, la raison de cette critique d’Israël démesurée n’est que de la pure lâcheté.
Si Israël comptait une population de 100 millions d’habitants et que c’était un grand pays, le monde ne serait pas si enclin à l’intimidation. Les Nations Unies et l’Europe le laisserait plutôt tranquille, comme ils le font avec les pays coutumiers des violations des droits de l’homme que sont le Pakistan et l’Indonésie. (…)
Pour partie, la cause de cette hostilité mondiale à l’égard d’Israël est la jalousie.
Si Israël était plongé dans un chaos similaire à celui du Venezuela, peu de nations y prêteraient attention. Mais l’image d’une nation occidentalisée, fière et qui a réussi dans un océan de misère auto-infligée en irrite beaucoup.
Et le succès stupéfiant d’Israël dérange tant d’Etats défaillants que le monde entier y prête attention.”
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J’étais arrivée à la même conclusion que l’auteure de cet article. La France, parlons-en, cette France des Lumières, longtemps première puissance européenne, dont on vantait le chic, le bon goût, l’art, l’élégance, qu’est-elle devenue ? un pays en ruines, dont les gouvernants successifs sont des guignols mafieux qui, tous, échappent à la justice alors qu’ils devraient être en prison. Ces dirigeants soumis à l’argent du Qatar et de l’Arabie saoudite qui leur dictent les politiques intérieures et extérieures à appliquer, moyennant des comptes bancaires bien fournis dans des paradis fiscaux. Cette France dont la population autochtone est en instance de remplacement par une autre pressée d’appliquer la charia dans ce pays dont dont elle s’estime propriétaire maintenant.
2000 ans d’une riche Histoire pour en arriver là !
Et puis il y a Israël, dont l’Indépendance n’a que 70 ans, une « jeunette ». Une jeunette qui a fait des miracles pour en arriver là où elle occupe une place qui compte sur l’échiquier international.
Qu’Est-ce qu’un Fayçal El Hollande ? un « branleur », un type qui n’a jamais travaillé de sa vie. Ses seules occupations sont les ragots bien croustillants à se mettre sous la dent le soir au coin du feu. Bien sûr qu’il est jaloux de la réussite d’Israël, c’est évident. Qu’il se console cependant, puisqu’il aime les ragots il pourra toujours dans 2 mois se reconvertir dans le métier de dame-pipi !
C’est un parmi les pays le plus productive, qui apporte médecine, technologie, produits pharmaceutiques, et parmi les plus grand start-up du monde, en + les prix Nobel, comparé a toute les autre nations, en comparaison des autres pays.
C’est quand même très dérangeant :=)
Poldek
Vous avez absolument raison.le monde a oublié toute les guerres mque nous avons passé avec succes mais pas nos ennemis.leur nouvelle tactique est de nous attaque à l’onu ou ils ont une majorité qui les supporte même si ils ont tore.nous,nous avons notre sagesse millénaire, notre volonté et notre courage nationale
Ne pas oublier que l’ONU est composée, pour 80% de voix (votes) musulmanes. Ceci explique cela.
Comme l’a dit un jour Yaël Dayan : On aime Israël uniquement lorsqu’il est tout petit, qu’il est menacé, mais un Israël grand et fort, ça déplait !
Et pourtant il y a bien longtemps cette remarque, mais elle est d’actualité malheureusement !