Les chefs de la Sécurité israélienne se sont montrés gravement inquiets, mercredi 17 mai, quand ils ont appris qu’une délégation de haut-rang de l’armée irakienne est arrivée à Damas, -la première depuis des décennies, durant lesquelles les régimes dirigeants irakien et syrien étaient à couteaux tirés- pour des discussions sur la situation qui prévaut à la frontière irako-syrienne -en particulier autour du terminal d’Al-Tanf.
Les sources de JForum ont mentionné le 16 mai l’éventualité d’un affrontement armé direct autour de ce point de passage, qui est situé à l’intersection des frontières jordaniennes, irakiennes et syriennes et qui contrôle la Route n°1 reliant Bagdad à Damas et à la capitale jordanienne, Amman.
Mercredi,on a assisté à une débauche d’activités dans cette zone, de la part des forces spéciales américaines, britanniques et Jordaniennes, d’un côté, et des forces syriennes, du Hezbollah et des milices pro-iraniennes de l’autre. Cela donne le sentiment qu’une course contre la montre est en train de se développer tranquillement, pour savoir la quelle des forces rivales parviendra la première et prendra le contrôle du passage d’Al-Tanf.
A ce même sujet, la délégation de l’armée irakienne a tenu des pourparlers séparés à Damas, avec des officiers supérieurs du Commandement russe en Syrie et des officiers supérieurs iraniens en poste à l’Etat-Major central syrien.
Les sources des renseignements militaires ajoutent que les trois groupes d’officiers ont entrepris ces discussions, en fait, de façon à intégrer l’armée irakienne dans les efforts menés par les Irano-syriens afin de garantir le contrôle total de Damas et Téhéran sur les régions sensibles des frontières.
Israël s’inquiète profondément en découvrant que le Premier Ministre d’Irak Haidar al-Abadi a secrètement pivoté en se détournant de la campagne américano-jordianienne pour le contrôle des frontières d’Irak et de Syrie et qu’il a changé pour s’aligner complètement derrière Moscou et Téhéran [NDLR : nous pensons que c’est le contraire qui aurait été surprenant du fait de l’inféodation croissante de l’Irak à l’Iran]
Les décideurs politiques israéliens sont préoccupés du fait que le Président Donald Trump est sous la contrainte du barrage quotidien d’attaques personnelles qui l’écartent de sa priorité : elle devrait être de trouver les moyens de contrecarrer les forces susceptibles qui se dressent dangereusement contre les plans américains en Syrie.
Region impossible a controler par les occidentaux.
Chacun se croit plus malin que l autre ! Ils veulent ignorer qu il n y a aucune alliance qui tienne avec les arabes ,en attendant ,ils recoivent des armes et de l aide de toutes parts et organisent la contrebande a grande echelle y compris de » marchandise humaine » C est un veritable piege a cons !