Tandis que la communauté musulmane française a perçu le débat sur la laïcité organisé par l’UMP comme une attaque contre l’islam, la gauche y a vu une manoeuvre électoraliste pour récupérer des voix au FN. Mais ne pas débattre de la laïcité revient à faire le lit des extrémistes en Europe, assure un éditorialiste polonais.

Une femme musulmane brandit un passeport français lors d’une réunion avec l’imam de Montreuil. Mai 2010

Abderrahmane Dahmane, ancien conseiller du président Sarkozy pour la diversité, a déclaré que l’islam en France était devenu un “objet de stigmatisation”. En signe de protestation, il a entrepris de distribuer des étoiles vertes à ses coreligionnaires, en souvenir des symboles que les juifs d’Europe avaient dû porter pendant la Seconde Guerre mondiale.

La campagne de l’étoile verte n’est pas tant la preuve de la stupidité de son auteur que de son insolence crasse, d’autant plus que ce seraient plutôt les Français qui pourraient se sentir mal à l’aise dans certains quartiers de leurs villes, confrontés à des bandes de jeunes Algériens et Marocains.

Quant à la notion de “stigmatisation”, elle paraît grotesque, quand on voit comment les catholiques sont tournés en ridicule sur les bords de la Seine et dans bien d’autres pays d’Europe de l’Ouest. Ce n’est pas à la Grande mosquée de Paris, mais dans la cathédrale Notre-Dame qu’un groupe d’activistes gays a orchestré une « cérémonie de mariage » homosexuel il y a six ans, au cours de laquelle le pape Benoît XVI a été insulté.

Le débat sur la laïcité se concentre effectivement sur l’islam. Mais il porte aussi sur l’avenir de l’islam dans toute l’Europe. Le parti de Sarkozy s’interroge sur des questions concrètes qui concernent également l’Italie, les Pays-Bas et la Suède. Que faire des musulmans qui organisent des prières de masse dans les rues des villes ? Faut-il proposer des repas halal dans les cantines scolaires ? Que faire des élèves originaires d’Afrique du Nord qui protestent contre les leçons sur l’Holocauste, qui n’est selon eux qu’une invention des sionistes ? Les piscines publiques devraient-elles prévoir des horaires séparés pour les jeunes musulmanes ?

Pour la gauche européenne, toute tentative de débattre de ces problèmes n’est que l’expression du racisme, pour les musulmans radicaux, c’est de la stigmatisation. Mais si l’on n’en débat pas, voilà ce qu’il adviendra : d’ici une dizaine d’années, la majorité des pays du Vieux Continent seront gouvernés par les clones de Marine Le Pen et Geert Wilders.

Marek Magierowski

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Voilà ce que ressent un français musulman. Nous ne sommes pas d’accord sur tout ce qu’il dit. Ce qui importe c’est d’écouter un homme, pris au piège d’une société qui perd petit à petit ses repères moraux. (NDLR)

Le grand amalgame de l’UMP

Comment, avant chaque période électorale, on vous rejoue le refrain du méchant musulman envahisseur. Ce 4 avril 2011 est un jour à marquer sur vos calendriers. Pour la première fois, un ministre d’Etat de la Ve république, Claude Guéant, prononce une attaque visant directement une communauté religieuse française. Selon lui, « l’augmentation du nombre de musulmans en France pose problème », ce qui justifierait la convention de l’UMP sur la laïcité et les « propositions à venir ». Au delà de la polémique sur la teneur de ces propos anti-constitutionnels, il est intéressant de noter l’accroissement de la xénophobie qu’a contribué à créer ce gouvernement et les amalgames presque caricaturaux mis en place ces dernières années.

Je suis, comme beaucoup de Français, très désolé d’avoir eu le choix, en 2006, entre une Ségolène Royal que le PS nous avait désignée malgré nous, mais dont l’étoffe politique aurait fait sourire n’importe quel diplomate, et un Nicolas Sarkozy agitateur agité mais un peu trop close-minded dans sa façon de penser.

Comme beaucoup d’intellectuels, j’avais, non pas détesté le président lorsqu’il avait parlé de « carsher » et de « racaille » mais presque admis l’idée que pour sauver l’image des musulmans de France, et plus généralement celle des immigrés dont je fais partie, il fallait stopper ces quelques milliers de jeunes écervelés des quartiers, qu’on nous présentait à la télévision comme les représentants d’une communauté avec laquelle ils n’ont strictement rien à voir, puisque la plupart de ces jeunes sont nés en France de parents français et sont détestés jusque par les gens des quartiers dans lesquels ils vivent.

Je suis de ceux qui, lors du débat sur le voile islamique déguisé en « débat sur la laïcité », m’étais offusqué du fait qu’en France, il existe des églises chrétiennes et des synagogues, mais qu’il soit impossible, légalement, de construire une « vraie » mosquée, avec toute la stigmatisation et les problèmes de discrimination que cela suppose et que l’on accuse ensuite les pratiquants musulmans (priant dans des caves aménagées en salles de prières) de communautarisme. Idem en ce qui concerne les cimetières musulmans, interdits du fait de la loi de 1905. Tu es musulman, tu fermes ta g…

Quant on fait tout pour étouffer un culte, il ne faut pas s’étonner des revendications qui s’en suivent et qui portent sur des détails qui deviennent alors raisons d’être. La demande de suppression du porc à la cantine est, selon moi, une forme de résistance des familles qu’on soumet à une pression de plus en plus importante depuis des années.

Comme beaucoup de Français, j’ai regardé, l’air agacé, les débats bidons où une jeune fille prépubère de banlieue en baskets et voilée comme une sœur catholique voulait justifier à la France entière sa bêtise de porter un voile au collège (comme environ 500 autres filles en France) alors que cela coûtait pendant ce temps leur réputation à des millions de mères françaises musulmanes qui n’avaient rien demandé à personne, comme si soudainement les enseignements du prophète Mahomet se résumaient au port du voile… pathétique.

J’ai été choqué, lorsque dans une atmosphère déjà tendue, plusieurs journaux français, ont repris à leur compte les caricatures du prophète de l’Islam, après que l’affaire eu été close dans le pays nordique d’où elles provenaient, comme pour bien remuer le couteau dans la plaie.

Avec la création du Conseil National du Culte Musulman, je me disais que peut-être certains problèmes seraient réglés et que M. le président Sarkozy avait finalement fait le bon choix après la bataille, celui du dialogue.

Pendant toute cette période, je n’ai pas pu m’empêcher d’observer l’amalgame profond qui fut entretenu entre d’une part, les « jeunes de cités » et d’autre part la « communauté musulmane de France » comme si ces deux entités étaient, de facto, liées, comme si soudainement, tous les musulmans de France habitaient les ghettos des banlieues ou en provenaient et que tous passaient leur temps en bas des immeubles à brûler des voitures ou faire des tournantes, comme cela était bien décrit par les pseudo-défenseresses des associations comme « Ni Putes Ni Soumises » qui se font maintenant huer à chaque déplacement.

Cet argument phare du FN, longtemps repris par M. JM Le Pen, qui consistait à associer le chômage et la délinquance des cités à l’Islam était donc repris par le gouvernement de droite de M. Sarkozy.

Aujourd’hui, après toute cette stigmatisation, toutes ces insultes voilées, M. Guéand ajoute un mensonge à l’Histoire.

Un rapide tour sur Wikipédia nous montre que le nombre de musulmans en France était, selon diverses sources que je vous laisse apprécier, de 4.16 millions en 1990, de 3.7 millions en 1999, 3.65 millions en 2004 (INED), 2.46 millions en 2007 (CSA) puis de seulement 2.1 millions en 2010 (INED/INSEE).

Par contre, côté politique, le chiffre avancé par M. Sarkozy en 2003, de 5 à 6 millions, et ne reposant sur aucune étude, a constamment gonflé, pour rejoindre l’estimation du Front National aujourd’hui, qui est de 8%.

Voilà pour les chiffres. Intéressant n’est-ce pas ?

On peut ensuite discuter ces chiffres, et penser, par exemple, que les musulmans ont de moins en moins tendance à se faire recenser comme tels, vu la paranoïa ambiante que ce gouvernement a contribué à mettre en place, mais en s’intéressant à la population d’origine Algérienne par exemple, qui représente à elle seule 43% des potentiels musulmans et assimilés comme tels, on observe qu’en 1992 déjà, 30% des jeunes se déclaraient sans religion et ce chiffre montait à 60% d’entre eux lorsqu’un des deux parents n’avait pas d’origine Algérienne.

Eh oui, M. Guéand, quelle que soit l’angle sous lequel on regarde et les sources sur lesquelles on se base, l’Islam ne monte pas, il recule, favorisant ainsi la montée des extrêmismes, du salafisme et autres « mouvements islamistes ».

C’est sans doute parce que nombre de Français « d’origine étrangère », avec des noms à « consonance étrangère » ou avec des faciès rappelant leur « origine éthnique », et j’emploie ici des expressions devenues familières mais ô combien choquantes d’un point de vue laïque, c’est sans doute pour cela que ces personnes donc se sentent de moins en moins bien en France et préfèrent s’expatrier pour aller travailler dans des pays où on les respecte et où on les reconnaît effectivement comme des Français, tel que cela est indiqué sur leurs cartes d’identité, tel que cela leur a été enseigné par leurs parents Français, nés ailleurs ou nés en France, et par leur école républicaine.

Après, je rejoins le gouvernement et l’ensemble des Français sur le fait qu’il existe des problèmes en France.

Par exemple, quant un ministre républicain stigmatise une religion censée représenter entre 4 et 10% de ses citoyens, il faut se poser la question très sérieuse de savoir si cette république est encore démocratique au sens de sa devise de « liberté, égalité, fraternité », ce dont je doute de plus en plus depuis dix ans.

Il existe effectivement une plus forte proportion de jeunes issus de familles elles-mêmes issues, il y a plus de 30 ans, de l’immigration, dans les classes populaires des banlieues à problèmes. C’est un fait et je ne suis pas un gaucho-écolo-idéalisto… donc je crois ce que je vois. Mais est-ce que cela fait de ces personnes des musulmans parce que leurs ascendants l’étaient ? Est-ce que ces personnes peuvent être considérées par un gouvernement comme les représentants de la deuxième religion de France aux yeux de Français ? Est-ce que les problèmes posés par une frange de quelques milliers de jeunes paumés ou d’extrêmistes trentenaires en crise d’identité doivent coûter leur sécurité et leur sentiment d’appartenance à la république à des millions d’autres ?

Est-ce que ce n’est pas le gouvernement lui-même qui pousse les Français et ces jeunes à penser qu’ils ne sont pas citoyens de cette nation et qu’ils seraient un groupe à part, auquel on commence à donner un nom : « l’Islam de France », alors que la plupart de ces jeunes sont sans religion et n’ont même pas le savoir nécessaire à la compréhension d’une quelconque religion ?

Finalement, je pense que ces jets d’huile successifs sur le feu ne pourront mener qu’à une conclusion fâcheuse.

D’une part, la colère des vrais musulmans de France, ceux qui travaillent, qui ne s’expriment pas sur le sujet (mais qui votent de moins en moins) car se sentant en minorité dans le pays et qui n’ont aucune sorte d’activisme et veulent simplement vivre leur religion comme les Chrétiens, les Juifs et les autres… en paix.

Ensuite, la montée de la paranoîa chez le Français moyen, avec qui l’on joue pour qu’il ne vote pas Le Pen, mais sans se préoccuper du fait qu’il devienne de plus en plus raciste et xénophobe envers ses concitoyens, avec qui il devra pourtant bien vivre au jour le jour.

Devant l’incapacité du gouvernement à gérer la sécurité des citoyens face à la montée des délinquances de quartiers et des extrêmismes religieux dans un pays en crise d’identité, le gouvernement a donc choisi la solution de la peur, comme l’ont fait tous les régimes fascistes au cours de l’Histoire, en stigmatisant une frange de la population, la plus fragile, celle des musulmans, en minorité, accusés de fait comme les responsables de tous les maux du monde.

Une attaque de plus à la foi de millions de personnes, et pendant que je vous parle, les racailles du fond du tramway tabassent encore une victime française … d’origine immigrée et peut-être musulmane.

On se trompe de cible.

par JEAN TAFAZZOLI

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Constantine

Monsieur Dahmane veut distribuer aux musulmans des étoiles vertes, ils les porteront volontairement sachant qu’ elles ne les conduiront pas aux chambres à gaz, contrairement aux millions de Juifs qui y ont péri. Quelle hypocrisie!!! alors que l’ islam ne reconnait pas la SHOA. Tout est bon pour tromper, le mensonge pieux est autorisé par le coran (taqya).

Constantine

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Je suis islamo-négatif par Serge de Beketch 12 /12/ 1946 – 06 /10/ 2007

Je ne suis pas islamophobe, je ne suis pas hostile à l’islam, je ne suis pas en guerre contre l’islam. Je n’ai aucun sentiment à l’égard de l’islam. Je m’en fous radicalement. Tant qu’il reste dans ses terres. Mais chez moi, dans ma patrie, dans mon pays, je n’en veux pas. Un point c’est tout. Je suis islamo-négatif. Je nie le droit de l’islam à prospérer en France. Je nie que l’islam soit une religion. C’est un totalitarisme comme l’indique son nom qui signifie “soumission” et, comme tel, il est du droit de tout homme libre de s’y opposer de toutes ses forces et par tous les moyens “y compris légaux”. Je nie que l’islam ait rien de commun avec la civilisation européenne et encore moins avec la civilisation française. Il lui est en tous points étrangers. Par son caractère, ses croyances, ses rites, ses observances, ses moeurs. Je nie que l’islam ait jamais rien apporté à la France. Aucun chef-d’oeuvre littéraire, musical, architectural, pictural ou sculptural. Rien. Pas un écrivain n’a publié “Le génie de l’islam”. Nulle mosquée ne s’élève comparable à Chartres. On attend encore un Francis Poulenc musulman. On chercherait en vain, et pour cause, un Real del Sarte islamiste. Je nie que l’islam appartienne au patrimoine de la France. Il n’a rien laissé, rien créé, rien fait pour la France

Aucune œuvre d’art, on l’a vu. Aucune œuvre de charité non plus. Pas un hôpital, pas un hospice, pas un orphelinat, pas une association caritative. Où sont les “petits frères des pauvres” qui appliqueraient en France ce “quatrième piller de l’islam” ( la Zakkat. En français : l’aumône que l’on traduit abusivement par la Charité ) ? Où est l’imam dont la personnalité et l’oeuvre pourraient se comparer à celles de saint Vincent de Paul ? Quelle fatwa a jamais fait pour les pauvres, les malades, les vieillards ou les enfants de France le millième de ce que font depuis des siècles les religieuses hospitalières, soignantes ou enseignantes ? Je nie l’influence de l’islam sur notre histoire intime. Pas un dicton, pas une coutume, pas un mot, pas un geste, qui exprime, dans le comportement des Français, dans leurs références, dans leur imaginaire, dans leurs souvenirs, dans les chansons, les comptines, les fables de leur enfance, le moindre lien avec l’islam. Aucune oeuvre de progrès, enfin. On nous rebat les oreilles avec l’apport de l’islam en matière de mathématiques, de géométrie, d’algèbre, d’astronomie, de médecine, de philosophie. ( ils ont été les récepteurs de quelques-uns de ces savoirs et leurs vecteurs : il y a loin de là à l’invention qu’on veut leur imputer !!!! Mais c’est se foutre du monde ! Où sont, dans l’histoire de l’intelligence française les savants, les penseurs, les philosophes musulmans. Où sont les Pasteur, les Curie, les Pascal islamistes ? Et que l’on ne prétende pas que cette absence s’expliquerait par le magistère de l’Eglise qui aurait fait obstacle à l’éclosion du génie créateur, scientifique, artistique de l’islam dans les bras de sa Fille aînée. Ou alors que l’on explique comment tant d’écrivains, de penseurs, de philosophes, de musiciens, de peintres, de sculpteurs juifs ont pu prospérer en dépit de cet obscurantisme. La vérité c’est que l’islam n’a rien à faire chez nous parce qu’il n’a jamais rien fait chez nous. La déclaration de Chirac selon qui « les racines de l’Europe (donc de la France) sont aussi musulmane que chrétiennes » n’est donc pas seulement le propos d’un imbécile, c’est aussi celui d’un salaud. L’islam “à la française” est une double absurdité et un crime de haute trahison. Parce que l’esprit de soumission est à l’opposé même du génie français. Parce que la notion de patrie est contraire à l’Ouma, loi islamique qui nie la nation. Parce que les politiciens renégats qui œuvrent à asservir la France au

totalitarisme islamique et à l’invasion afro-maghrébine sont plus coupables que les dirigeants français qui, voilà soixante-trois ans, se résignèrent à la Collaboration. La différence entre les Collabos d’hier et les “Coallahbos” d’aujourd’hui, c’est que Chirac, lui, a ouvert les portes à l’invasion en signant la loi sur le regroupement familial (très grave erreur…). Chirac ne cesse, après Mitterrand, de le répéter. Sous la botte allemande, la Police, la Justice et leurs auxiliaires n’ont pas montré autant de zèle à poursuivre les résistants que les flics, les chats fourrés et leurs “milices antiracistes” n’en mettent aujourd’hui à traquer, à provoquer, à punir les patriotes fiers de l’être et qui entendent le rester. Jamais la France n’a été aussi gravement malade. Infecté par le sida de la “coallahboration”, cette maladie auto-immune qui détruit toutes les défenses naturelles de la civilisation française, notre pays est devenu islamo-positif. Sa survie est désormais entre les seules mains des islamo-résistants. En avant !

bernard

Les chiffres cités sont bizarremment bas et personne ne peut y croire.
Le manque de mosquées ne peut justifier un blocage de circulation.
Aucune communauté religieuse ne l’a fait dans le passé.
Il y a eu une époque où il n’y avait pas assez de synagogues. Pour les grandes fêtes de nombreuses initiatives ont été prises pour louer des salles d’hôtel, des cinémas, des théâtres. Puis peu à peu des lieux de culte permanents ont été fondés avec des souscriptions auprès des fidèles.
La communauté musulmane a évolué positivement et on y trouve de plus en plus de membres des professions libérales, des commerçants, des enseignants etc.. Il est étonnant que de ces groupes n’émanent pas encore assez de cadres responsables et ayant le désir de donner à cette communauté l’impulsion positive qui lui manque encore.

Autre question à propos du voile intégral: comment ces femmes font elles pour obtenir des papiers d’identité, pour passer des examens ou pour prendre l’avion ? Ces questions élémentaires ne sont jamais abordées dans les débats.

Jlt

Comment se fait-il que la France n’ait de difficultés qu’avec les musulmans, alors qu’il y a chez nous des centaines de milliers d’Asiatiques que l’on ne voit jamais dans les diverses manifestations anti-racistes ?
Et comment se fait-il que jamais nous n’ayons vus nos concitoyens musulmans manifester massivement contre l’islam intégriste et les attentats terroristes ?

Jacqueslazier

Le texte de ce Polonais est homophobe. Il s’en prend aux homosexuel(le)s qui ont raison d’organiser un mariage gay dans une église, vu la discrimination qu’exerce le Vatican contre les homosexuel(le)s !